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2023 s’achève et annonce le début des réunions d’hiver FDSEA ! L’occasion de faire un point sur l’actualité syndicale. Ce sont les cantons de Mayenne Ouest, Sainte Suzanne, Villaines la Juhel et Saint Aignan sur Roë

Avec les trois derniers foyers de MHE recensés en Vendée, une vingtaine de communes du Sud-Mayenne sont entrées en zone de surveillance le 16 novembre. Prudence et vigilance sont donc de mises. « Trois foyers

Face au « toujours plus de normes, de restrictions, d’interdictions… », les Jeunes Agriculteurs de la Mayenne et la FDSEA 53 ont lancé, depuis vendredi 17 novembre, et comme dans d’autres départements, l’opération « On marche sur la

Lettre ouverte à la première ministre  Madame la Première ministre,  Dans quelques jours à Bruxelles, le trilogue relatif à la révision de la directive européenne sur les émissions industrielles (dite « IED ») se réunira

Lundi 20 novembre, la France a porté au Conseil des Ministres de l’Agriculture de l’Union Européenne une proposition pour pouvoir déroger en 2024 à certaines obligations de la PAC sur les jachères, celle-ci a recueilli

Une quinzaine d’agricultrices a participé à la journée organisée par la commission des agricultrices de la FDSEA ce lundi 13 novembre. À l’ordre du jour, la cybersécurité et une présentation des actions MSA. « Ne pas

Lors de la Commission Mixte Paritaire concernant le projet de loi portant sur les mesures d’urgence pour lutter contre l’inflation, députés et sénateurs ont confirmé la volonté d’anticiper les négociations commerciales entre transformateurs et distributeurs

Ce mardi 14 novembre, la Loi « portant mesures d’urgence pour lutter contre l’inflation concernant les produits de grande consommation » a été votée. Y figure l’avancement des dates de négociations commerciales à titre exceptionnel pour l’année

A l’appel de notre syndicat et de JA53, plus d’une centaine d’agriculteurs mayennais sont venus le soir du 9 novembre dernier exprimer leur colère devant la préfecture de Laval. Parmi nos revendications, nous exigions de mettre

La Commission européenne a annoncé jeudi 16 novembre le renouvellement de l’approbation du glyphosate dans l’Union Européenne, pour une période de dix ans, sous réserve de certaines nouvelles conditions et restrictions. La FNSEA salue la

Accord de libre-échange UE-Australie : c’est forcément NON !

 Alors que la presse spécialisée fait état d’une possible conclusion des négociations de l’accord commercial entre l’Union européenne et l’Australie dès cette fin de semaine, les représentants des éleveurs de bovins et d’ovins français demandent au Gouvernement de s’opposer, sans aucune hésitation ni ambigüité, à ce nouvel accord destructeur pour leur secteur et totalement incompatible avec les engagements pris par la France en matière de souveraineté alimentaire et de planification écologique.  

 La France ne peut pas, en même temps, laisser croire qu’une stratégie de baisse de cheptels de vaches et de brebis sur ses territoires serait favorable à sa décarbonation, et accepter, sans sourciller, un accord de libre-échange qui facilitera l’importation de plusieurs dizaines de milliers de tonnes de viandes bovines et ovines produites de l’autre côté de la planète ! 

Quel sens y aurait-il à mettre en péril notre propre élevage, pour mieux dérouler le tapis à l’agneau et au boeuf australiens, non seulement transportés sur des dizaines de milliers de kilomètres mais aussi, produits selon des standards bien inférieurs aux normes d’élevage françaises et européennes au plan environnemental ? 

Si la Commission européenne semble se satisfaire de cette situation absurde, la France, elle, doit la dénoncer avec force : il en va de la protection de nos exploitations d’élevage et des très nombreux services qu’elles rendent aux territoires et à la société, mais aussi du crédit de la parole gouvernementale sur les enjeux agricoles et de transition écologique. 

Quels que soient les volumes des quotas de viandes bovines et ovines finalement concédés à l’Australie et quel que soit l’habillage prévu par la Commission européenne pour justifier ces nouvelles concessions – qui s’ajoutent à tous les volumes déjà concédés dans les précédents accords -, les éleveurs de bovins et d’ovins demandent donc à la France d’exprimer, très vite, son opposition ferme à la conclusion de cet accord.