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Actuellement les moissons battent leur plein sur notre département avec des fortunes diverses dues aux aléas climatiques. Bon nombre d’agriculteurs mayennais ont connu un printemps fortement déficitaire en eau, impactant la quantité de foin produit.

Les précipitations de fin de semaine permettent un quasi statu quo des débits des cours d’eau. Seule la situation de Mayenne amont Est change, passant de vigilance à alerte. L’évolution des débits conduit à placer

Les dégâts causés par les choucas des tours sur les cultures sont de plus en plus importants. FDSEA et JA, avec le soutien technique de la Chambre d’agriculture, entament les démarches pour recenser puis prélever

Après les orages du 13 juin et les gros dégâts liés à la grêle notamment dans le Nord-Est de la Mayenne, un nouvel épisode orageux a frappé le département mercredi 25 juin. Cette fois-ci, une

L’absence de précipitations entraine une  baisse significative des débits des cours d’eau et le déclenchement des premières mesures de restrictions pour notre département.  L’évolution des débits conduit à placer les bassins  (carte jointe)  : – en alerte

Du 15 mars au 15 juin, agriculteurs et piégeurs agréés, accompagnés par la FDSEA et Polleniz, ont mené une nouvelle campagne de régulation des corneilles noires et des corbeaux freux sur plusieurs cantons mayennais. Ce

L’absence de précipitations entraine une  baisse significative des débits des cours d’eau et le déclenchement des premières mesures de restrictions pour notre département.  L’évolution des débits conduit à placer les bassins  (carte jointe)  : – 

Mercredi 25 juin, la grêle s’est à nouveau abattue sur le département. Et elle a généré une nouvelle fois de gros dégâts sur les parcelles, bâtiments et engins agricoles. Après le premier épisode survenu le

Les membres du conseil d’administration de la section laitière de la FRSEA Ouest se sont retrouvés à Janzé sur le nouveau site du laboratoire MYLAB cette semaine. Depuis le 1er janvier 2025 l’ensemble des analyses

Augmentation des taux d’imposition : à quoi s’attendre ?

La section des propriétaires de la FDSEA53 effectue actuellement un tour d’horizon des derniers avis de taxe foncière des propriétaires mayennais. L’objectif ? Inventorier les augmentations des taux d’imposition appliqués sur les derniers avis de taxe foncière.

La section des propriétaires de la FDSEA53 va engager très prochainement une action syndicale. En cause : les augmentations des taux d’imposition appliqués sur les derniers avis de taxe foncière. Cette action va principalement consister à demander aux propriétaires mayennais d’envoyer à la section une copie de leur dernier avis de taxe foncière, anonymisé, mais bien localisé, afin de « constater où se sont faites les plus fortes augmentations (parts communales et intercommunales) et d’engager ensuite des prises de contact avec les élus locaux des territoires concernés », précise Jean Barreau, président de la section des propriétaires de la FDSEA 53. 

Que « tous les propriétaires jouent le jeu »
Ce que l’on sait déjà, c’est que la taxe foncière va augmenter au minimum de 7,1 % cette année. « Il y a deux choses : le pourcentage fixé par les communes et les communautés de communes et le pourcentage fixé par l’État », explique Jean Barreau. Pour faire un inventaire des éventuelles augmentations selon les communes et communautés de communes, la section va donc effectuer un recensement des feuilles d’imposition des propriétaires mayennais. « Une fois que les chiffres seront sortis et si tous les propriétaires mayennais jouent le jeu en ramenant leur feuille d’imposition, on va pouvoir y voir plus clair en repérant précisément les hausses et les communes concernées. On peut espérer le savoir rapidement », escompte Jean Barreau.

« Une action syndicale » en préparation
Dans tous les cas, « il ne faut pas rêver, affirme le président de la section des propriétaires de la FDSEA53. On s’attend à une augmentation générale surtout de la part de l’État, en moyenne de 7 ou 8 %. Selon les secteurs, ça peut être 7 %, 8 %, 10 %, 12 % ou même 15 % », estime Jean Barreau. Si une base communale est fixée par l’État, les propriétaires redoutent également de subir une augmentation de la part des communes et/ou des communautés de communes. Le président Jean Barreau l’annonce, « il y aura forcément une action syndicale qui va ressortir de tout ça ».   

GM