News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté concernant la gestion de l’eau sur le département. Si certaines zones voient leurs restrictions allégées, d’autres restent sous surveillance. Au 4 novembre 2025, la situation

Par délibération en date du 21 mars 2025, la Commission locale de l’eau a validé le projet de Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Vilaine. Conformément à l’article R.212-40 du Code

À l’heure où les travaux d’automne s’achèvent et où les ressources naturelles se raréfient avec l’arrivée de l’hiver, la faune sauvage se rapproche des exploitations agricoles à la recherche de nourriture et d’abris. Cette période

Le Conseil fédéral s’est tenu le mardi 4 novembre dernier à Argentré, à la salle L’Escapade. Ce moment d’échanges a marqué le début d’une réflexion importante : notre réseau FDSEA 53 va évoluer. Pourquoi ?

La FDSEA 53 organise une journée dédiée aux femmes du monde agricole le mardi 18 novembre 2025, de 10h30 à 16h30 au restaurant Le Maine, 6 Rue Fernand Soulet, 53000 Laval. Un moment convivial et

L’eau est un patrimoine commun de la Nation, comme le reconnaît le Code de l’environnement. Sa gestion doit donc relever d’une responsabilité collective, équilibrée et transparente, au service de l’intérêt général. Cette exigence environnementale rejoint

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation de l’étiage au 28 octobre dans le département. L’évolution des débits des cours d’eau conduit à rétrograder la Mayenne médiane et aval et l’Oudon en

Le 23 juillet dernier, la FDSEA 53 et les JA 53 avaient écrit à la Préfète et au Directeur départemental des Finances publiques (DDFip) de la Mayenne. Après les violents épisodes de grêle de juin

Le prosulfocarbe est un herbicide largement utilisé en France, particulièrement sur les cultures de céréales, pommes de terre et quelques cultures légumières. Son autorisation a pu être maintenue grâce à la mobilisation professionnelle, mais avec des conditions

Jusqu’ici en accord avec la stratégie vaccinale du gouvernement contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), FNSEA, JA, FNPL, FNB dénoncent les nouvelles mesures prises par le gouvernement, dans un communiqué le 17 octobre, une décision

BCAE 2 (zones humides/tourbières) : FRSEA et JA demandent à la Draaf de revoir sa copie

Au gré des réformes de la PAC, les BCAE (Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales) évoluent et parmi elles, se discute actuellement la BCAE2 incombant aux Etats membres la mise en place d’aires de protection de zones humides et de tourbières, au plus tard le 1er janvier 2025.

Les ministères de la Transition écologique et de l’Agriculture envisagent pour cela, un croisement de cartographies existantes des zones humides effectives (RPDZH) présentes au sein des sites Ramsar (classement européen), en ajoutant les tourbières recensées dans les zones Natura 2000.

La FRSEA et les JA des Pays de la Loire ont déjà alerté l’Etat du refus de la profession agricole sur ce mode de cartographie. En effet, bien qu’à ce stade le zonage envisagé ciblerait tout particulièrement 3 départements ligériens (Loire-Atlantique, Vendée et Maine-et-Loire), le risque d’atteinte à la capacité productive des exploitations concernées, notamment dans les zones de marais, serait significatif.

Parce que la Draaf Pays de la Loire ne semble pas prendre la mesure réelle des risques pour l’agriculture régionale, FRSEA et JA Pays de la Loire lui demandent expressément d’allonger les délais de consultations (jugeant un délai de 3 semaines, en plein été, bien trop court…) pour permettre ainsi une réelle concertation des agriculteurs. Les syndicats demandent également de transmettre l’ensemble des cartographies et données finalisées permettant de quantifier aux niveaux régional et départemental la surface agricole utile impactée. Enfin, ils exigent de retirer du calcul de la BCAE 2 les Scop (surface en céréales, oléagineux et protéagineux), afin de réduire l’impact sur la surface agricole utile et éviter la disparition totale de l’agriculture en zones de marais.