News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

Vendredi 12 septembre, nous avons rencontré l’eurodéputée Valérie Hayer aux côtés des JA 53 et de la Chambre d’agriculture. Cette rencontre a été l’occasion d’aborder plusieurs dossiers majeurs pour l’avenir de nos exploitations : le

Pour sa première visite officielle en exploitation agricole depuis son arrivée en Mayenne le 1er septembre, la préfète Nadège Baptista a répondu à l’invitation de la FDSEA 53. Le vendredi 12 septembre, elle s’est rendue

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation des bassins hydrographiques du département, mardi 16 septembre. Les récentes pluies permettent un assouplissement des restrictions. L’Oudon est rétrogradé en alerte, et la Sarthe amont,

Depuis juillet, des courriels ont été adressés à l’ensemble des agriculteurs dont les télédéclarations PAC 2025 présentent une ou des anomalies. Des relances peuvent également être faites par téléphone par la DDT53.  Rappelons que le 3STR, introduit

Comme redouté, la Commission européenne a officiellement lancé, ce mercredi 3 septembre, la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur (en même temps d’ailleurs que celle de l’accord avec

Bandes végétalisées, les règles à connaitre La mesure de maintien de bandes enherbées concerne tous les exploitants ayant au moins un îlot cultural en zone vulnérable, pour tous les îlots culturaux en zone vulnérable qui

Les dernières précipitations ont permis une remontée des débits des cours d’eau. Les seuils des bassins hydrographiques en Mayenne évoluent donc : l’Oudon reste en alerte renforcée ; la Sarthe amon, aval, la Mayenne amont

Lactalis : opprimer les producteurs et leurs représentants, encore et toujours !  Cela va faire un an que Lactalis a décidé de rompre unilatéralement des contrats avec les éleveurs pour 10 % de sa collecte.

Il y a déjà deux mois, la Mayenne vibrait au rythme du Tour de France avec un moment inoubliable : la fresque agricole réalisée à Marigné-Peuton par la FDSEA 53 et les Jeunes Agriculteurs. Sous

SOLAAL sur le Grand Ouest lance un appel au don de lait pour valoriser les éleveurs qui sont déjà engagés dans la démarche et inciter ceux qui ne font pas encore de don de lait

BCAE 2 (zones humides/tourbières) : FRSEA et JA demandent à la Draaf de revoir sa copie

Au gré des réformes de la PAC, les BCAE (Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales) évoluent et parmi elles, se discute actuellement la BCAE2 incombant aux Etats membres la mise en place d’aires de protection de zones humides et de tourbières, au plus tard le 1er janvier 2025.

Les ministères de la Transition écologique et de l’Agriculture envisagent pour cela, un croisement de cartographies existantes des zones humides effectives (RPDZH) présentes au sein des sites Ramsar (classement européen), en ajoutant les tourbières recensées dans les zones Natura 2000.

La FRSEA et les JA des Pays de la Loire ont déjà alerté l’Etat du refus de la profession agricole sur ce mode de cartographie. En effet, bien qu’à ce stade le zonage envisagé ciblerait tout particulièrement 3 départements ligériens (Loire-Atlantique, Vendée et Maine-et-Loire), le risque d’atteinte à la capacité productive des exploitations concernées, notamment dans les zones de marais, serait significatif.

Parce que la Draaf Pays de la Loire ne semble pas prendre la mesure réelle des risques pour l’agriculture régionale, FRSEA et JA Pays de la Loire lui demandent expressément d’allonger les délais de consultations (jugeant un délai de 3 semaines, en plein été, bien trop court…) pour permettre ainsi une réelle concertation des agriculteurs. Les syndicats demandent également de transmettre l’ensemble des cartographies et données finalisées permettant de quantifier aux niveaux régional et départemental la surface agricole utile impactée. Enfin, ils exigent de retirer du calcul de la BCAE 2 les Scop (surface en céréales, oléagineux et protéagineux), afin de réduire l’impact sur la surface agricole utile et éviter la disparition totale de l’agriculture en zones de marais.