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Le rapport 2024 de l’Observatoire de la Formation des Prix et des Marges (OFPM), publié le 19 juillet dernier, met en lumière des défis persistants pour les agriculteurs, notamment en termes de répartition de la

En déplacement en Mayenne mardi dernier, Lydie Bernard, 3e vice-présidente du Conseil régional Pays de la Loire et présidente de la Commission Agricultures, agroalimentaire, alimentation, forêt, pêche et mer, s’est rendue sur l’exploitation du Gaec

Informations concernant le programme : Période d’éligibilité : pertes liées au botulisme du 1er aout 2023 et le 31 juillet 2024 Pertes éligibles : mortalité et euthanasie des animaux infectés par du botulisme Base d’indemnisation : valeur marchande objective (VMO)

De janvier à avril 2024, la collecte française a progressé légèrement de + 0.5 % / 2023. Cette tendance devrait se poursuivre avec des collectes hebdomadaires moyennes de + 0.5 % en mai et + 2.6 % en juin. Dans l’Ouest,

De nouvelles dispositions réglementaires relatives au programme d’éradication et aux mesures d’indemnisation dans le cadre de la lutte contre l’IBR de la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR) viennent d’entrer en vigueur. Ces arrêtés visent à accélérer

A l’occasion d’une réunion nationale qui s’est tenue le 12 juillet, le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire a présenté la modification de calcul du ratio de référence sur les prairie permanente qu’il

Les organisations professionnelles agricoles de la Mayenne lancent la deuxième enquête. Agricultrices, agriculteurs votre avis nous intéresse ! Totalement en ligne, cette enquête est extrêmement rapide à remplir. Elle comporte une vingtaine de questions. Nous comptons

Le 28 juin s’est tenu dans la salle du stade de Bouchamps-lès-Craon une réunion bilan de régulation des corvidés sur le secteur de Craon. En décembre 2022, une dynamique collective avait été insufflée par la FDSEA

Ce lundi 15 juillet avait lieu une rencontre de travail entre la Communauté de communes des Coëvrons, la FDSEA 53 et les JA 53 dans le cadre de la préparation du nouveau PLUI du territoire

Jeudi 11 juillet s’est tenu le Conseil d’administration de la FRSEA Ouest lait avec la présence des départements de nos deux régions. Le point conjoncture a permis de faire un état des lieux des prix

Exclusion des bovins du champ d’IED : la logique a finalement prévalu

Les élevages bovins demeureront bien hors du cadre d’application de la directive européenne sur les « émissions industrielles » (IED). Enfin, et logiquement, un accord politique a été trouvé le 28 novembre lors de la procédure de trilogue entre le parlement européen, le Conseil et la Commission.

… Enfin, car cette décision fait suite à une très longue période de discussions au plan communautaire, enclenchée par la proposition initiale de la Commission, qui avait interloqué les éleveurs. Quant à la position des pouvoirs publics français, elle a été plus qu’ambigüe au cours de cette négociation, alimentant l’incompréhension des producteurs.

… Logiquement, car pour l’élevage bovin, le bon sens a donc prévalu, au vu de la réalité de ses élevages. Non, nos bovins ne sont pas élevés dans des fermes « industrielles », ils reposent sur un modèle de production lié au sol, ancré dans les territoires, à dimension familiale, valorisant des millions d’hectares de prairies et de surfaces fourragères pour une autonomie d’alimentation des cheptels et assurant un ensemble de services environnementaux induits (biodiversité, stockage de carbone, qualité des eaux et paysages,…).

Le FNB et la FNPL, qui se sont très fortement mobilisées pour conserver l’exclusion des bovins, saluent l’action décisive du Parlement européen, et notamment des députés Jérémy DECERCLE, Benoît LUTGEN, Paolo DECASTRO, Anne SANDER, Irène TOLLERET,… La récente tribune publiée à la veille du trilogue, avait d’ailleurs à nouveau mis en lumière toute l’incohérence du dossier !

Il est nécessaire, tant en France qu’en Europe, que soit restitué à l’élevage bovin toute la place qu’il se doit d’occuper au service de la souveraineté alimentaire, des équilibres environnementaux et de la vitalité économique des territoires.

Les éleveurs resteront mobilités pour continuer de faire entendre aux décideurs politiques les dangers majeurs d’une déconnexion des décisions avec la réalité vécue sur le terrain.