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Depuis plusieurs semaines, les bénévoles de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs 53 se mobilisent pour faire rayonner l’agriculture mayennaise à l’occasion du passage du Tour de France. Samedi 12 juillet, c’est une fresque géante

À la suite d’un courrier adressé par la profession agricole à la préfète de la Mayenne le 16 juillet dernier, cette dernière a consenti à des dérogations à l’arrêté préfectoral du 15 juillet 2025 limitant

La Commission européenne a annoncé ce mercredi 16 juillet les contours du prochain cadre financier de la Politique Agricole Commune (PAC) pour la période 2028-2034. Alors que la PAC a longtemps constitué le ciment de

Face aux conditions climatiques exceptionnelles qui frappent la Mayenne en 2025 — sécheresse prolongée et violents épisodes de grêle — la préfète autorise, à titre dérogatoire, l’utilisation des jachères en fourrage (fauche et/ou pâture). Les

Le 8 juillet 2025 restera comme un moment charnière pour l’agriculture française. L’adoption de la proposition de loi visant à lever les contraintes au métier d’agriculteur marque l’aboutissement de plus de 18 mois de mobilisation

Actuellement les moissons battent leur plein sur notre département avec des fortunes diverses dues aux aléas climatiques. Bon nombre d’agriculteurs mayennais ont connu un printemps fortement déficitaire en eau, impactant la quantité de foin produit.

Les précipitations de fin de semaine permettent un quasi statu quo des débits des cours d’eau. Seule la situation de Mayenne amont Est change, passant de vigilance à alerte. L’évolution des débits conduit à placer

Les dégâts causés par les choucas des tours sur les cultures sont de plus en plus importants. FDSEA et JA, avec le soutien technique de la Chambre d’agriculture, entament les démarches pour recenser puis prélever

Après les orages du 13 juin et les gros dégâts liés à la grêle notamment dans le Nord-Est de la Mayenne, un nouvel épisode orageux a frappé le département mercredi 25 juin. Cette fois-ci, une

Lactalis secoue la filière laitière : les éleveurs en colère

Alors que les éleveurs laitiers sont en plein travaux avec son lot d’incertitudes, que les inquiétudes grandissent sur les conséquences des maladies sanitaires qui affectent les troupeaux, les éleveurs pensaient au moins être épargnés sur le volet économique après plusieurs années difficiles.

C’était sans compter sur Lactalis. Dans un contexte où la filière doit se mobiliser pour apporter du positif pour répondre à l’enjeu du renouvellement des générations et de l’attractivité des métiers, l’annonce du groupe Lactalis de réduire sa production en licenciant ses producteurs est vécue comme une déflagration par les principaux concernés mais aussi par tous les éleveurs. Cette décision est également empreinte d’incompréhension.

Pour la FRSEA Ouest lait, sur le court terme, l’enjeu est simple : aucun producteur ne doit être laissé sur le bas-côté.

Chacun dans son rôle, les organisations de producteurs, les FDSEA et la FRSEA Ouest lait vont tout mettre en œuvre pour trouver des solutions. Si il y a une urgence immédiate pour rassurer les producteurs sur leur devenir, nous nous devons également de la jouer collectif.

Collectif face à Lactalis qui devra assumer jusqu’au bout sa décision en mettant la main à la poche pour les éleveurs lésés avec un préjudice important.

Collectif avec tous les producteurs, ceux qui sont en organisation de producteurs mais aussi les autres. Ceux qui sont en bio et qui font le choix de poursuivre. Ceux qui sont excentrés.

Sur le moyen terme, nous devons accélérer notre réflexion sur l’organisation des producteurs face à la gestion de la production. Les organisations de producteurs doivent demain être capables de gérer les volumes en collectif avec plusieurs acheteurs. Pour cela, la massification de l’offre de lait doit s’engager et les outils de gestion collective doivent être disponibles pour les OP.

Les perspectives d’évolution de collecte devraient faire réagir les entreprises mais également les distributeurs sur leur sécurisation d’un approvisionnement d’un lait local français et durable.

Même avec une perspective de baisse de la production au niveau national mais également dans nos bassins de production de l’Ouest, nous le constatons amèrement, rien n’est acquis et le rapport de force que l’on pensait profiter à terme aux producteurs a été déplacé.

La FRSEA Ouest lait n’accepte pas cette situation et se mobilisera chaque instant pour donner aux producteurs la place qui est la leur : au cœur de la filière laitière avec un travail reconnu et une rémunération à la hauteur des attentes.