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La nouvelle provision élevage, déductible de votre résultat imposable, vous permet , dans les meilleurs cas, plus de 10 000 euros en 2025 au titre de vos résultats de l’année 2024. Votée en retard suite

Pour répondre à des difficultés faisant suite de la multiplication des crises sanitaires, climatiques et économiques, le Gouvernement a décidé de la mise en place d’un dispositif exceptionnel de soutien à la trésorerie des exploitations

Organisé pour la première fois il y a deux ans, l’événement Faites de l’énergie est de retour en 2025 à la Maison des agriculteurs, à Changé. Le vendredi 27 juin prochain, plus d’une quarantaine de

Avec la publication le 26 mars des nouveaux tarifs de rachat de l’électricité, l’État a entendu les craintes du secteur et notamment celles portées par la FNSEA. En 2024, il s’est installé deux fois plus

Nous avons le plaisir de vous annoncer la prochaine journée des agricultrices, qui se déroulera à Rungis, le plus grand marché de produits frais au monde. Cette journée exceptionnelle vous permettra de découvrir les coulisses

Une semaine après avoir récupéré les clés de leur ferme à Montigné-le-Brillant, les époux Garanger, accompagnés du réseau FDSEA-JA 53, ont tenu une conférence de presse sur leur exploitation. Pour les aider à surmonter les

Grâce à une forte mobilisation des réseaux FDSEA 53 et JA 53 mais aussi de nombreux autres acteurs locaux, la famille GARANGER a enfin pu, le mercredi 26 mars, expulser les squatteurs et récupérer son

Le 79e congrès de la FNSEA s’est ouvert à huis-clos le mardi 25 mars à Alpexpo à Grenoble (Isère). L’occasion pour le syndicat majoritaire de revenir sur les grands temps forts de l’année 2024 et

Le mercredi 26 mars, Patrice et Josiane Garanger ont enfin récupéré les clés de leur ferme à Montigné-le-Brillant, après près de deux ans de lutte contre l’occupation illégale de leur exploitation par la famille Dubois.

Le mardi 18 mars, la FDSEA 53 a tenu son assemblée générale dans la salle L’Escapade à Argentré, sous la présidence de Florent Renaudier. La thématique centrale de cette année portait sur la place des

Mercosur : la mobilisation continue à Strasbourg pour stopper l’accord !

Alors que les intentions de la Commission européenne pour ouvrir toujours plus largement le marché européen à des produits alimentaires ne respectant aucune des conditions imposées en Europe continue, la mobilisation agricole se poursuit également sans relâche !

Les agriculteurs et éleveurs français et européens sont de nouveau nombreux à se mobiliser ce mercredi à Strasbourg, à l’occasion d’une session réunissant le Parlement européen. Ils entendent bien, encore une fois, dénoncer les incohérences de la politique portée par la Commission européenne, et lutter contre l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur !
Depuis que la Présidente von der Leyen a annoncé la fin des négociations avec le Mercosur, ouvrant le marché européen à quelques 99 000 tonnes de viandes bovines supplémentaires, les débats se poursuivent au sein des instances européennes, et notamment au Parlement.
En parallèle, la Commission européenne a annoncé en ce début d’année la conclusion des négociations politiques de l’accord entre l’Europe et le Mexique, dont les grandes lignes avaient été convenues en 2020, et qui compte encore un total de 20 000 tonnes de contingents de viandes bovines à droits réduits.
Rappelons une nouvelle fois qu’aucun de ces accords n’inclut de clause miroir ! Pourtant, les conditions de production sur le continent américain sont complètement différentes de celles que nous connaissons en Europe et en France, avec des filières d’export vers l’Europe et le reste du monde organisées sur le modèle des feedlots. Les réglementations diffèrent largement, en particulier sur les sujets de traçabilité des animaux dès la naissance ou encore d’usage d’antibiotiques comme activateur de croissance…
Pour Patrick BENEZIT, Président de la Fédération Nationale Bovine : « Tous les élus politiques doivent choisir de préserver l’élevage européen et son modèle durable et de stopper les plans dévastateurs de la commission qui souhaite continuer d’importer des produits non-conformes à sa propre réglementation !
Les éleveurs défendront sans relâche leur modèle, et les consommateurs européens !
Nous attendons que la France exerce son droit de veto auprès du Conseil européen, forte du soutien de tous les Parlementaires européens ! »