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Les dégâts causés par les choucas des tours sur les cultures sont de plus en plus importants. FDSEA et JA, avec le soutien technique de la Chambre d’agriculture, entament les démarches pour recenser puis prélever

Après les orages du 13 juin et les gros dégâts liés à la grêle notamment dans le Nord-Est de la Mayenne, un nouvel épisode orageux a frappé le département mercredi 25 juin. Cette fois-ci, une

L’absence de précipitations entraine une  baisse significative des débits des cours d’eau et le déclenchement des premières mesures de restrictions pour notre département.  L’évolution des débits conduit à placer les bassins  (carte jointe)  : – en alerte

Du 15 mars au 15 juin, agriculteurs et piégeurs agréés, accompagnés par la FDSEA et Polleniz, ont mené une nouvelle campagne de régulation des corneilles noires et des corbeaux freux sur plusieurs cantons mayennais. Ce

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Mercredi 25 juin, la grêle s’est à nouveau abattue sur le département. Et elle a généré une nouvelle fois de gros dégâts sur les parcelles, bâtiments et engins agricoles. Après le premier épisode survenu le

Les membres du conseil d’administration de la section laitière de la FRSEA Ouest se sont retrouvés à Janzé sur le nouveau site du laboratoire MYLAB cette semaine. Depuis le 1er janvier 2025 l’ensemble des analyses

Jeudi et vendredi, les syndicats FDSEA53 et JA 53 ont mené des actions de stickage dans plusieurs enseignes LIDL de la Mayenne pour dénoncer les prix du lait non rémunérateurs et le redémarrage d’une guerre

Avec l’épisode de canicule en cours et des températures pouvant atteindre jusqu’à 38°C en Mayenne, la vigilance s’impose. Dans ce contexte de risque élevé d’incendies agricoles, il est important de rappeler la convention signée le

Stop à la désinformation sur les élevages de porcs.

L’Interprofession dénonce une nouvelle manipulation de l’opinion et en appelle aux pouvoirs publics pour mettre fin à ce harcèlement systématique !

Alors que l’association d’activistes anti-élevage L214 s’apprête à diffuser un énième montage vidéo à charge tourné dans des élevages de porcs, l’Interprofession nationale porcine – INAPORC – dénonce des images mises en scène et sorties de leur contexte, ne reflétant en rien la réalité des élevages de porcs en France, afin de créer le trouble et manipuler l’opinion publique.

L’Interprofession dénonce les pratiques de ces activistes : la vidéo mélange volontairement des images issues de plusieurs élevages avec un montage mensonger, instrumentalisant d’anciennes images d’archives tournées dans d’autres lieux.

À travers cette nouvelle action de désinformation, les extrémistes tentent de semer la confusion et de déguiser leur objectif final en utilisant des arguments fallacieux. INAPORC rappelle que L214 n’a pas pour ambition d’améliorer la production mais bien d’interdire l’élevage et de mettre fin à la consommation de viande.

De plus, avec cette nouvelle action de désinformation, les activistes prennent une nouvelle fois en otage une enseigne de la grande distribution engagée dans un travail de renforcement de la bientraitance animale, mené en collaboration avec les éleveurs et soutenu par l’Interprofession. Les militants végans cherchent sciemment à imposer à ce distributeur, ainsi qu’aux autres, le « PIG MINIMUM STANDARDS », un standard totalement impossible à appliquer pour les éleveurs et les transformateurs. En effet ce standard imposerait de détruire et reconstruire l’ensemble des élevages français de porc et générerait un surcout inatteignable de plus de 7,7 milliards d’euros. Ce qui entrainerait la disparition assurée des exploitations de taille intermédiaire, la fin de l’autosuffisance et l’afflux d’importations à fort impact carbone.

Les éleveurs de porcs français rappellent avec fermeté qu’ils sont déjà engagés de longue date en faveur de la bientraitance de leurs animaux et que les réglementations européennes et françaises sont parmi les plus strictes du monde. La filière s’est de plus engagée de façon volontaire dans une démarche de responsabilité sociétale incluant un pilier bientraitance animale : « Demain Le Porc » et appelle au soutien de ces actions dans le domaine et à l’arrêt des pratiques de harcèlement dont elle est victime.

Les éleveurs ainsi que l’ensemble des professionnels de la filière demandent que les pouvoirs publics, les élus et tous les décideurs publics fassent de toute urgence le nécessaire pour stopper ces pratiques. Les éleveurs tout particulièrement instrumentalisés dans cette stratégie destructrice des militants anti-élevage ne peuvent plus supporter cet acharnement injustifié. L’enjeu est de continuer à produire une viande de qualité pour répondre à la demande des consommateurs et aux attentes sociétales tout en contribuant à la souveraineté alimentaire du pays dans un contexte économique et géopolitique qui nous l’impose plus que jamais.