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La préfète de la Mayenne a annoncé le lancement des paiements d’avances sur les aides de la Politique agricole commune (PAC) à compter du 16 octobre 2025. Cette année, 98 % des exploitants agricoles mayennais

La préfecture de la Mayenne a communiqué une nouvelle évaluation de la situation hydrologique au 15 octobre 2025. Malgré quelques épisodes de pluie ponctuels ces dernières semaines, les débits des cours d’eau restent faibles, et

Le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a annoncé, par un arrêté du 14 octobre 2025, le relèvement du niveau de risque d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) à “modéré” sur l’ensemble du territoire

Dans ce contexte où le Président du Cniel a été poussé à la démission, le collège producteurs de l’interprofession s’offusque des positions tenues et des remises en cause des écrits par la Fnil (Fédération National

La MSA organise une formation pratique les jeudi 30 et vendredi 31 octobre 2025 à Martigné-sur-Mayenne, destinée aux salariés agricoles en polyculture-élevage, salariés de groupements d’employeurs, agents de remplacement, salariés de CUMA et d’ETA, apprentis

Le jeudi 2 octobre, le réseau FNSEA des Pays de la Loire accueillait Christophe Chambon, éleveur laitier dans le Doubs et secrétaire général adjoint national. L’occasion de revenir sur le travail syndical de ces derniers

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation de l’étiage au 7 octobre dans le département. L’évolution à la baisse des débits des cours d’eau conduit à placer les bassins de la Sarthe

Jeudi 9 octobre, la FDSEA 53 a reçu Alexandre de Palmas, directeur exécutif de Carrefour France, et Éric Adam, directeur des relations institutionnelles du groupe. L’échange, tenu à Changé, a permis d’aborder les tensions entre

La Section départementale des anciens exploitants de la Mayenne (SDAE 53) tiendra son assemblée générale le mardi 21 octobre 2025 au complexe sportif de Loiron-Ruillé. Près de 300 participants sont attendus pour cette journée mêlant

À partir de 2025, la demande d’aide à l’assurance récolte se simplifie : plus de formulaire papier à envoyer à la DDT(M). Grâce à l’action de la FNSEA et des JA, la procédure repose désormais

Accord de libre-échange UE-Australie : c’est forcément NON !

 Alors que la presse spécialisée fait état d’une possible conclusion des négociations de l’accord commercial entre l’Union européenne et l’Australie dès cette fin de semaine, les représentants des éleveurs de bovins et d’ovins français demandent au Gouvernement de s’opposer, sans aucune hésitation ni ambigüité, à ce nouvel accord destructeur pour leur secteur et totalement incompatible avec les engagements pris par la France en matière de souveraineté alimentaire et de planification écologique.  

 La France ne peut pas, en même temps, laisser croire qu’une stratégie de baisse de cheptels de vaches et de brebis sur ses territoires serait favorable à sa décarbonation, et accepter, sans sourciller, un accord de libre-échange qui facilitera l’importation de plusieurs dizaines de milliers de tonnes de viandes bovines et ovines produites de l’autre côté de la planète ! 

Quel sens y aurait-il à mettre en péril notre propre élevage, pour mieux dérouler le tapis à l’agneau et au boeuf australiens, non seulement transportés sur des dizaines de milliers de kilomètres mais aussi, produits selon des standards bien inférieurs aux normes d’élevage françaises et européennes au plan environnemental ? 

Si la Commission européenne semble se satisfaire de cette situation absurde, la France, elle, doit la dénoncer avec force : il en va de la protection de nos exploitations d’élevage et des très nombreux services qu’elles rendent aux territoires et à la société, mais aussi du crédit de la parole gouvernementale sur les enjeux agricoles et de transition écologique. 

Quels que soient les volumes des quotas de viandes bovines et ovines finalement concédés à l’Australie et quel que soit l’habillage prévu par la Commission européenne pour justifier ces nouvelles concessions – qui s’ajoutent à tous les volumes déjà concédés dans les précédents accords -, les éleveurs de bovins et d’ovins demandent donc à la France d’exprimer, très vite, son opposition ferme à la conclusion de cet accord.