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« Face à l’augmentation des populations de sangliers sur le département où le niveau de prélèvements a atteint 5 212 sangliers sur la saison 2024-2025, et face à l’augmentation des dégâts aux cultures agricoles et

La préfète de la Mayenne a décidé de classer certaines communes en « cercle 2 » suite à des attaques de loups. Ce classement permet aux éleveurs de ces communes de bénéficier d’aides pour financer

Au beau milieu des pourparlers entre les Etats-Unis et la Commission européenne, certains jouent les oiseaux de mauvais augure pour accélérer la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur

« La Commission européenne a approuvé, le 15 avril, la version révisée du plan stratégique national (PSN) français » pour la campagne 2025, a annoncé le ministère de l’Agriculture dans un communiqué le 22 avril. Paris avait soumis à

La nouvelle provision élevage, déductible de votre résultat imposable, vous permet , dans les meilleurs cas, plus de 10 000 euros en 2025 au titre de vos résultats de l’année 2024. Votée en retard suite

Pour répondre à des difficultés faisant suite de la multiplication des crises sanitaires, climatiques et économiques, le Gouvernement a décidé de la mise en place d’un dispositif exceptionnel de soutien à la trésorerie des exploitations

Organisé pour la première fois il y a deux ans, l’événement Faites de l’énergie est de retour en 2025 à la Maison des agriculteurs, à Changé. Le vendredi 27 juin prochain, plus d’une quarantaine de

Avec la publication le 26 mars des nouveaux tarifs de rachat de l’électricité, l’État a entendu les craintes du secteur et notamment celles portées par la FNSEA. En 2024, il s’est installé deux fois plus

Nous avons le plaisir de vous annoncer la prochaine journée des agricultrices, qui se déroulera à Rungis, le plus grand marché de produits frais au monde. Cette journée exceptionnelle vous permettra de découvrir les coulisses

Une semaine après avoir récupéré les clés de leur ferme à Montigné-le-Brillant, les époux Garanger, accompagnés du réseau FDSEA-JA 53, ont tenu une conférence de presse sur leur exploitation. Pour les aider à surmonter les

Mercosur : toutes les excuses sont bonnes …

Au beau milieu des pourparlers entre les Etats-Unis et la Commission européenne, certains jouent les oiseaux de mauvais augure pour accélérer la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur !

Depuis quelques semaines, les annonces de Donald Trump concernant les relations commerciales entre les Etats-Unis et le reste du monde, et notamment avec le vieux continent, font couler beaucoup d’encre. Il semble que cette nouvelle situation serve de prétexte à la Commission européenne pour justifier d’une ratification rapide de l’accord avec le Mercosur.

Plus inquiétant encore, d’après le média Euractiv, un membre du cabinet du Premier Ministre français semble partager cette analyse, et considérer que les producteurs français devraient se concentrer sur « l’amélioration de la qualité » au lieu de « continuer à produire des vaches – en concurrence directe avec les vaches brésiliennes – qui n’ont aucun autre avantage que d’être identiques ».

Et bien, non, notre élevage n’est pas « identique » à celui des pays du Mercosur !
Non, nos élevages ne sont pas constitués de gigantesques feedlots comptant des milliers d’animaux !
Non, nos animaux ne sont pas dopés aux antibiotiques utilisés comme activateurs de croissance, ni aux hormones, …

Donc non, notre viande n’est pas la même ! Elle respecte les standards de production les plus exigeants au monde, notamment en ce qui concerne la sécurité sanitaire, l’environnement et le bienêtre animal.

Les producteurs français n’ont pas le souhait de renoncer à la qualité de notre élevage bovin herbager durable, à taille humaine, reconnu par les consommateurs, et plébiscité par les citoyens !

Pour Patrick BENEZIT, Président de la Fédération Nationale Bovine : « Le Président Macron l’affirme, l’accord avec le Mercosur ne peut pas être accepté. Nous attendons que la France exerce son droit de veto auprès du Conseil européen, forte du soutien de tous les Parlementaires français ! Les éleveurs ne peuvent pas être trahis, et une nouvelle fois abandonnés, à la faveur d’un accord qui ne prévoit aucune réciprocité quant aux respects des normes de production. »