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La FRSEA Pays de la Loire et la Chambre d’agriculture Pays de la Loire organisent leur traditionnelle journée veau de boucherie le mardi 9 décembre 2025 à Saint-Quentin-les-Anges en Mayenne à laquelle sont conviés tous

Comme chaque année, la FDSEA de la Mayenne part à la rencontre des agriculteurs sur le terrain. Une série d’assemblées générales cantonales se tient dans tout le département, offrant un moment privilégié d’échange, d’écoute et

La section des Agricultrices de la FDSEA 53 organisait ce mardi 18 novembre une journée d’information à Laval. La matinée a débuté par l’intervention de Dorian Bougoin, juriste fiscalité à la FNSEA, venu présenter les

FRSEA et JA Pays de la Loire et Bretagne alertent sur la baisse préoccupante du prix du porc et appellent à une mobilisation collective pour préserver la filière. Depuis juillet 2025, le prix du porc

Les Assises de la Fédération Nationale des Producteurs de Lait se tiendront les mercredi 3 et jeudi 4 décembre 2025 au Palais du Grand Large, à Saint-Malo. Deux jours de travaux, d’échanges, de visites et

Ce vendredi, des adhérents de la FDSEA 53 et des Jeunes Agriculteurs de la Mayenne se sont rassemblés devant la Préfecture de Laval pour dénoncer l’accord Mercosur et la future taxe carbone sur les engrais.

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté actualisant les mesures de restriction des usages de l’eau. Si la situation continue de s’améliorer sur certains bassins, la vigilance reste de mise pour d’autres

A partir du 1er janvier 2026, certaines demandes de dérogations individuelles au cahier des charges agriculture biologique deviendront payantes. Un champ d’application ciblé Toutes les dérogations ne sont pas concernées par cette nouvelle procédure. Cinq

PCAE élevage : la Région ouvre un appel à projets du 13 novembre 2025 au 30 avril 2026 pour accompagner les investissements en productions animales.   Dans le cadre de la programmation 2023-2027, les exploitations

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté concernant la gestion de l’eau sur le département. Si certaines zones voient leurs restrictions allégées, d’autres restent sous surveillance. Au 4 novembre 2025, la situation

Mercosur : toutes les excuses sont bonnes …

Au beau milieu des pourparlers entre les Etats-Unis et la Commission européenne, certains jouent les oiseaux de mauvais augure pour accélérer la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur !

Depuis quelques semaines, les annonces de Donald Trump concernant les relations commerciales entre les Etats-Unis et le reste du monde, et notamment avec le vieux continent, font couler beaucoup d’encre. Il semble que cette nouvelle situation serve de prétexte à la Commission européenne pour justifier d’une ratification rapide de l’accord avec le Mercosur.

Plus inquiétant encore, d’après le média Euractiv, un membre du cabinet du Premier Ministre français semble partager cette analyse, et considérer que les producteurs français devraient se concentrer sur « l’amélioration de la qualité » au lieu de « continuer à produire des vaches – en concurrence directe avec les vaches brésiliennes – qui n’ont aucun autre avantage que d’être identiques ».

Et bien, non, notre élevage n’est pas « identique » à celui des pays du Mercosur !
Non, nos élevages ne sont pas constitués de gigantesques feedlots comptant des milliers d’animaux !
Non, nos animaux ne sont pas dopés aux antibiotiques utilisés comme activateurs de croissance, ni aux hormones, …

Donc non, notre viande n’est pas la même ! Elle respecte les standards de production les plus exigeants au monde, notamment en ce qui concerne la sécurité sanitaire, l’environnement et le bienêtre animal.

Les producteurs français n’ont pas le souhait de renoncer à la qualité de notre élevage bovin herbager durable, à taille humaine, reconnu par les consommateurs, et plébiscité par les citoyens !

Pour Patrick BENEZIT, Président de la Fédération Nationale Bovine : « Le Président Macron l’affirme, l’accord avec le Mercosur ne peut pas être accepté. Nous attendons que la France exerce son droit de veto auprès du Conseil européen, forte du soutien de tous les Parlementaires français ! Les éleveurs ne peuvent pas être trahis, et une nouvelle fois abandonnés, à la faveur d’un accord qui ne prévoit aucune réciprocité quant aux respects des normes de production. »