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À l’heure où les travaux d’automne s’achèvent et où les ressources naturelles se raréfient avec l’arrivée de l’hiver, la faune sauvage se rapproche des exploitations agricoles à la recherche de nourriture et d’abris. Cette période

Le Conseil fédéral s’est tenu le mardi 4 novembre dernier à Argentré, à la salle L’Escapade. Ce moment d’échanges a marqué le début d’une réflexion importante : notre réseau FDSEA 53 va évoluer. Pourquoi ?

La FDSEA 53 organise une journée dédiée aux femmes du monde agricole le mardi 18 novembre 2025, de 10h30 à 16h30 au restaurant Le Maine, 6 Rue Fernand Soulet, 53000 Laval. Un moment convivial et

L’eau est un patrimoine commun de la Nation, comme le reconnaît le Code de l’environnement. Sa gestion doit donc relever d’une responsabilité collective, équilibrée et transparente, au service de l’intérêt général. Cette exigence environnementale rejoint

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation de l’étiage au 28 octobre dans le département. L’évolution des débits des cours d’eau conduit à rétrograder la Mayenne médiane et aval et l’Oudon en

Le 23 juillet dernier, la FDSEA 53 et les JA 53 avaient écrit à la Préfète et au Directeur départemental des Finances publiques (DDFip) de la Mayenne. Après les violents épisodes de grêle de juin

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Jusqu’ici en accord avec la stratégie vaccinale du gouvernement contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), FNSEA, JA, FNPL, FNB dénoncent les nouvelles mesures prises par le gouvernement, dans un communiqué le 17 octobre, une décision

Prairies permanentes : pas de retournement

Le ratio prairies permanentes des Pays de la Loire a diminué de plus de 5 %. Une baisse lourde de conséquences qui entraîne la mise en place d’un régime d’interdiction de retournement et la réimplantation des prairies.

Une réunion au ministère de l’Agriculture, le 12 octobre, a officialisé ce que beaucoup craignaient, à savoir la dégradation du ratio des prairies permanentes des Pays de la Loire de 5,20 % par rapport à l’année de référence 2018. Un chiffre qui sonne comme un coup de tonnerre, car il fait passer les Pays de la Loire directement en régime d’interdiction, sans passer par le régime d’autorisation qui s’applique entre – 2 et – 5 %.

Quelles conséquences ?

La première conséquence est l’interdiction du retournement des prairies permanentes, comme cela s’est passé l’an dernier pour la région des Hauts-de-France. Autre conséquence : l’obligation de remettre en prairies permanentes (donc avec un maintien en herbe d’au moins 5 ans), une partie des prairies permanentes converties en cultures sur les deux dernières campagnes : 15 mai 2021-15 mai 2022 et 15 mai 2022-15 mai 2023. « Pour l’instant, nous attendons l’arrêté ministériel qui devrait confirmer la dégradation du ratio des prairies permanentes pour l’ensemble de la région des Pays de la Loire », indique-t-on du côté de la DDT de la Mayenne.

« Le ministère de l’Agriculture devrait aussi fixer l’objectif à atteindre pour améliorer ce ratio, car il faudra bien repasser en-dessous des 5%. » Ce qui permettrait de revenir, au pire, à un système soumis à autorisation, et non plus à une interdiction. Tant que cet arrêté n’est pas publié, « il est prudent d’attendre et de ne pas continuer à convertir des prairies permanentes en terres arables », poursuit la DDT 53. Une fois l’arrêté rédigé, la DDT pourra identifier les agriculteurs mayennais qui ont retourné des prairies permanentes au cours des deux dernières campagnes. A eux, ensuite, de remettre en prairie la proportion de terres qui leur sera demandée. A ne pas négliger puisque le maintien des prairies permanentes est une des conditionnalités (BCAE 1) de l’obtention des aides Pac. « Il pourrait y avoir une baisse du taux des aides Pac en raison de l’importance de la conversion de prairies permanentes en cultures », souligne la DDT 53. Donc, prudence en attendant le texte officiel et les modalités d’application par le ministère.

VG