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Mardi 3 juin, cinquante agricultrices de la FDSEA 53, ont mis le cap vers le Val-de-Marne pour une visite exceptionnelle du Marché de Rungis. Certaines ne s’étaient même pas couchées, d’autres s’étaient levées aux aurores,

VIGILANCE SUR L’USAGE DE L’EAU : passage des territoires hydrographiques de la Sarthe aval et de la Mayenne médiane et aval en vigilance. Sur ces territoires hydrographiques, il est fait appel au sens civique de tous les utilisateurs et usagers de l’eau qui sont invités

Il est prévu, dans le cadre de la nouvelle circulaire visant à instaurer le contrôle unique en exploitation agricole, l’organisation annuelle d’actions de communication destinées aux agriculteurs, et ce de façon concertée par les préfets

Face à la crise sans précédent vécue par les agriculteurs en agriculture biologique, la FNSEA est pleinement mobilisée pour que tous les outils soient mis en oeuvre en vue d’aider des producteurs en grande fragilité.

La régulation de la population de sangliers est un enjeu majeur pour lutter contre les dégâts occasionnés sur les cultures agricoles et préserver l’économie agricole. Cette régulation permet également d’améliorer la sécurité routière de tous

À l’issue d’une journée rocambolesque à l’Assemblée nationale, en préalable à la discussion de la PPL Contraintes, JA et la FNSEA saluent la responsabilité des députés qui ont voté la motion de rejet pour préserver,

La Région Pays de la Loire a démarré le 15 mai la campagne 2025-2027 du PCAE Animal. Elle a revu les modalités d’attribution et la liste d’investissements pour contenir une enveloppe déjà bien entamée. Faisons

Le dépouillement du scrutin MSA s’est tenu ce jeudi 22 mai pour la caisse régionale Mayenne-Orne-Sarthe. Merci à l’ensemble des scrutateurs et scrutatrices pour le consenti à ces élections ! Ci-après les chiffres clés de

Dispensées sur 2 jours par la Fédération des chasseurs de la Mayenne, les formations de piégeurs agréés permettent notamment aux agriculteurs mayennais victimes d’attaques répétées de corvidés (corbeaux freux, corneilles…) et autres espèces dommageables des

Après être intervenu lors de l’assemblée générale de l’AFDI Pays de la Loire jeudi 22 mai, le président de l’OMA (Organisation Mondiale des Agriculteurs) a poursuivi sa journée en Mayenne en se rendant sur la

Rapport de l’OFPM : La FNSEA et Jeunes Agriculteurs appellent les pouvoirs publics à s’engager en faveur d’une nouvelle répartition de la valeur.

Le rapport 2024 de l’Observatoire de la Formation des Prix et des Marges (OFPM), publié le 19 juillet dernier, met en lumière des défis persistants pour les agriculteurs, notamment en termes de répartition de la valeur.

La grande distribution continue à capter une part essentielle des dépenses alimentaires : pour chaque 100 € dépensés en alimentation par les ménages français, les agriculteurs ne reçoivent que 6,4 €, contre 15,5 € pour la distribution. Le rapport met en évidence qu’en 2023, on constate un net effet de rattrapage pour de nombreux produits suivis par l’OFPM. La hausse des prix au détail s’accélère encore avec une nouvelle hausse de 10,9%, qui s’explique cette fois d’abord par la progression des marges brutes en aval. En somme, les produits ont coûté plus cher en rayons parce que les distributeurs ont reconstitué leurs marges.

Le gonflement des marges de l’aval pose la question de la juste répartition de la valeur au sein de la chaîne alimentaire. Cela ne doit se faire, ni au détriment des producteurs et des productrices, ni au détriment des consommateurs et consommatrices.

Fort de ces constats, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs (JA) insistent sur la nécessité de renforcer les lois EGAlim pour garantir la réelle construction des prix en marche avant. Aussi, des ajustements sont nécessaires :

  • Les prix d’achat auprès des producteurs doivent être basés sur des indicateurs de coûts de production interprofessionnels. Leur poids doit être prépondérant dans la formation des prix.
  • Les négociations en amont doivent se conclure avant l’envoi des conditions générales de vente pour assurer une transparence totale dans les relations commerciales et protéger la matière première agricole.

Mettre en place ces mesures et éviter de prendre exemple sur des modèles inefficaces, sont indispensables pour tendre vers une répartition équitable de la valeur, du producteur au distributeur.