News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

L’eau est un patrimoine commun de la Nation, comme le reconnaît le Code de l’environnement. Sa gestion doit donc relever d’une responsabilité collective, équilibrée et transparente, au service de l’intérêt général. Cette exigence environnementale rejoint

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation de l’étiage au 28 octobre dans le département. L’évolution des débits des cours d’eau conduit à rétrograder la Mayenne médiane et aval et l’Oudon en

Le 23 juillet dernier, la FDSEA 53 et les JA 53 avaient écrit à la Préfète et au Directeur départemental des Finances publiques (DDFip) de la Mayenne. Après les violents épisodes de grêle de juin

Le prosulfocarbe est un herbicide largement utilisé en France, particulièrement sur les cultures de céréales, pommes de terre et quelques cultures légumières. Son autorisation a pu être maintenue grâce à la mobilisation professionnelle, mais avec des conditions

Jusqu’ici en accord avec la stratégie vaccinale du gouvernement contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), FNSEA, JA, FNPL, FNB dénoncent les nouvelles mesures prises par le gouvernement, dans un communiqué le 17 octobre, une décision

La Section départementale des anciens exploitants agricoles (SDAE 53) de la FDSEA53 a tenu son assemblée générale mardi 21 octobre à Loiron-Ruillé, avec plus de 300 participants. « On a connu les JA, maintenant on

« Dans un contexte de progression rapide de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) en France, et suite aux annonces ministérielles, le CRIEL Normandie Lait et le Cilouest souhaitent relayer auprès de chacun d’entre vous le courrier

La préfecture de la Mayenne a communiqué une nouvelle évaluation de la situation hydrologique au 21 octobre 2025. Malgré quelques épisodes de pluie ponctuels ces dernières semaines, les débits des cours d’eau restent faibles, et

La préfète de la Mayenne a annoncé le lancement des paiements d’avances sur les aides de la Politique agricole commune (PAC) à compter du 16 octobre 2025. Cette année, 98 % des exploitants agricoles mayennais

La préfecture de la Mayenne a communiqué une nouvelle évaluation de la situation hydrologique au 15 octobre 2025. Malgré quelques épisodes de pluie ponctuels ces dernières semaines, les débits des cours d’eau restent faibles, et

Stop à la désinformation sur les élevages de porcs.

L’Interprofession dénonce une nouvelle manipulation de l’opinion et en appelle aux pouvoirs publics pour mettre fin à ce harcèlement systématique !

Alors que l’association d’activistes anti-élevage L214 s’apprête à diffuser un énième montage vidéo à charge tourné dans des élevages de porcs, l’Interprofession nationale porcine – INAPORC – dénonce des images mises en scène et sorties de leur contexte, ne reflétant en rien la réalité des élevages de porcs en France, afin de créer le trouble et manipuler l’opinion publique.

L’Interprofession dénonce les pratiques de ces activistes : la vidéo mélange volontairement des images issues de plusieurs élevages avec un montage mensonger, instrumentalisant d’anciennes images d’archives tournées dans d’autres lieux.

À travers cette nouvelle action de désinformation, les extrémistes tentent de semer la confusion et de déguiser leur objectif final en utilisant des arguments fallacieux. INAPORC rappelle que L214 n’a pas pour ambition d’améliorer la production mais bien d’interdire l’élevage et de mettre fin à la consommation de viande.

De plus, avec cette nouvelle action de désinformation, les activistes prennent une nouvelle fois en otage une enseigne de la grande distribution engagée dans un travail de renforcement de la bientraitance animale, mené en collaboration avec les éleveurs et soutenu par l’Interprofession. Les militants végans cherchent sciemment à imposer à ce distributeur, ainsi qu’aux autres, le « PIG MINIMUM STANDARDS », un standard totalement impossible à appliquer pour les éleveurs et les transformateurs. En effet ce standard imposerait de détruire et reconstruire l’ensemble des élevages français de porc et générerait un surcout inatteignable de plus de 7,7 milliards d’euros. Ce qui entrainerait la disparition assurée des exploitations de taille intermédiaire, la fin de l’autosuffisance et l’afflux d’importations à fort impact carbone.

Les éleveurs de porcs français rappellent avec fermeté qu’ils sont déjà engagés de longue date en faveur de la bientraitance de leurs animaux et que les réglementations européennes et françaises sont parmi les plus strictes du monde. La filière s’est de plus engagée de façon volontaire dans une démarche de responsabilité sociétale incluant un pilier bientraitance animale : « Demain Le Porc » et appelle au soutien de ces actions dans le domaine et à l’arrêt des pratiques de harcèlement dont elle est victime.

Les éleveurs ainsi que l’ensemble des professionnels de la filière demandent que les pouvoirs publics, les élus et tous les décideurs publics fassent de toute urgence le nécessaire pour stopper ces pratiques. Les éleveurs tout particulièrement instrumentalisés dans cette stratégie destructrice des militants anti-élevage ne peuvent plus supporter cet acharnement injustifié. L’enjeu est de continuer à produire une viande de qualité pour répondre à la demande des consommateurs et aux attentes sociétales tout en contribuant à la souveraineté alimentaire du pays dans un contexte économique et géopolitique qui nous l’impose plus que jamais.