News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

Ce vendredi, des adhérents de la FDSEA 53 et des Jeunes Agriculteurs de la Mayenne se sont rassemblés devant la Préfecture de Laval pour dénoncer l’accord Mercosur et la future taxe carbone sur les engrais.

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté actualisant les mesures de restriction des usages de l’eau. Si la situation continue de s’améliorer sur certains bassins, la vigilance reste de mise pour d’autres

A partir du 1er janvier 2026, certaines demandes de dérogations individuelles au cahier des charges agriculture biologique deviendront payantes. Un champ d’application ciblé Toutes les dérogations ne sont pas concernées par cette nouvelle procédure. Cinq

PCAE élevage : la Région ouvre un appel à projets du 13 novembre 2025 au 30 avril 2026 pour accompagner les investissements en productions animales.   Dans le cadre de la programmation 2023-2027, les exploitations

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté concernant la gestion de l’eau sur le département. Si certaines zones voient leurs restrictions allégées, d’autres restent sous surveillance. Au 4 novembre 2025, la situation

Par délibération en date du 21 mars 2025, la Commission locale de l’eau a validé le projet de Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Vilaine. Conformément à l’article R.212-40 du Code

À l’heure où les travaux d’automne s’achèvent et où les ressources naturelles se raréfient avec l’arrivée de l’hiver, la faune sauvage se rapproche des exploitations agricoles à la recherche de nourriture et d’abris. Cette période

Le Conseil fédéral s’est tenu le mardi 4 novembre dernier à Argentré, à la salle L’Escapade. Ce moment d’échanges a marqué le début d’une réflexion importante : notre réseau FDSEA 53 va évoluer. Pourquoi ?

La FDSEA 53 organise une journée dédiée aux femmes du monde agricole le mardi 18 novembre 2025, de 10h30 à 16h30 au restaurant Le Maine, 6 Rue Fernand Soulet, 53000 Laval. Un moment convivial et

L’eau est un patrimoine commun de la Nation, comme le reconnaît le Code de l’environnement. Sa gestion doit donc relever d’une responsabilité collective, équilibrée et transparente, au service de l’intérêt général. Cette exigence environnementale rejoint

Stop à la désinformation sur les élevages de porcs.

L’Interprofession dénonce une nouvelle manipulation de l’opinion et en appelle aux pouvoirs publics pour mettre fin à ce harcèlement systématique !

Alors que l’association d’activistes anti-élevage L214 s’apprête à diffuser un énième montage vidéo à charge tourné dans des élevages de porcs, l’Interprofession nationale porcine – INAPORC – dénonce des images mises en scène et sorties de leur contexte, ne reflétant en rien la réalité des élevages de porcs en France, afin de créer le trouble et manipuler l’opinion publique.

L’Interprofession dénonce les pratiques de ces activistes : la vidéo mélange volontairement des images issues de plusieurs élevages avec un montage mensonger, instrumentalisant d’anciennes images d’archives tournées dans d’autres lieux.

À travers cette nouvelle action de désinformation, les extrémistes tentent de semer la confusion et de déguiser leur objectif final en utilisant des arguments fallacieux. INAPORC rappelle que L214 n’a pas pour ambition d’améliorer la production mais bien d’interdire l’élevage et de mettre fin à la consommation de viande.

De plus, avec cette nouvelle action de désinformation, les activistes prennent une nouvelle fois en otage une enseigne de la grande distribution engagée dans un travail de renforcement de la bientraitance animale, mené en collaboration avec les éleveurs et soutenu par l’Interprofession. Les militants végans cherchent sciemment à imposer à ce distributeur, ainsi qu’aux autres, le « PIG MINIMUM STANDARDS », un standard totalement impossible à appliquer pour les éleveurs et les transformateurs. En effet ce standard imposerait de détruire et reconstruire l’ensemble des élevages français de porc et générerait un surcout inatteignable de plus de 7,7 milliards d’euros. Ce qui entrainerait la disparition assurée des exploitations de taille intermédiaire, la fin de l’autosuffisance et l’afflux d’importations à fort impact carbone.

Les éleveurs de porcs français rappellent avec fermeté qu’ils sont déjà engagés de longue date en faveur de la bientraitance de leurs animaux et que les réglementations européennes et françaises sont parmi les plus strictes du monde. La filière s’est de plus engagée de façon volontaire dans une démarche de responsabilité sociétale incluant un pilier bientraitance animale : « Demain Le Porc » et appelle au soutien de ces actions dans le domaine et à l’arrêt des pratiques de harcèlement dont elle est victime.

Les éleveurs ainsi que l’ensemble des professionnels de la filière demandent que les pouvoirs publics, les élus et tous les décideurs publics fassent de toute urgence le nécessaire pour stopper ces pratiques. Les éleveurs tout particulièrement instrumentalisés dans cette stratégie destructrice des militants anti-élevage ne peuvent plus supporter cet acharnement injustifié. L’enjeu est de continuer à produire une viande de qualité pour répondre à la demande des consommateurs et aux attentes sociétales tout en contribuant à la souveraineté alimentaire du pays dans un contexte économique et géopolitique qui nous l’impose plus que jamais.