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Le 8 juillet 2025 restera comme un moment charnière pour l’agriculture française. L’adoption de la proposition de loi visant à lever les contraintes au métier d’agriculteur marque l’aboutissement de plus de 18 mois de mobilisation

Actuellement les moissons battent leur plein sur notre département avec des fortunes diverses dues aux aléas climatiques. Bon nombre d’agriculteurs mayennais ont connu un printemps fortement déficitaire en eau, impactant la quantité de foin produit.

Les précipitations de fin de semaine permettent un quasi statu quo des débits des cours d’eau. Seule la situation de Mayenne amont Est change, passant de vigilance à alerte. L’évolution des débits conduit à placer

Les dégâts causés par les choucas des tours sur les cultures sont de plus en plus importants. FDSEA et JA, avec le soutien technique de la Chambre d’agriculture, entament les démarches pour recenser puis prélever

Après les orages du 13 juin et les gros dégâts liés à la grêle notamment dans le Nord-Est de la Mayenne, un nouvel épisode orageux a frappé le département mercredi 25 juin. Cette fois-ci, une

L’absence de précipitations entraine une  baisse significative des débits des cours d’eau et le déclenchement des premières mesures de restrictions pour notre département.  L’évolution des débits conduit à placer les bassins  (carte jointe)  : – en alerte

Du 15 mars au 15 juin, agriculteurs et piégeurs agréés, accompagnés par la FDSEA et Polleniz, ont mené une nouvelle campagne de régulation des corneilles noires et des corbeaux freux sur plusieurs cantons mayennais. Ce

L’absence de précipitations entraine une  baisse significative des débits des cours d’eau et le déclenchement des premières mesures de restrictions pour notre département.  L’évolution des débits conduit à placer les bassins  (carte jointe)  : – 

Mercredi 25 juin, la grêle s’est à nouveau abattue sur le département. Et elle a généré une nouvelle fois de gros dégâts sur les parcelles, bâtiments et engins agricoles. Après le premier épisode survenu le

MERCOSUR : La FNSEA demande une rencontre avec le Président de la République

Alors que la Commission européenne multiplie les efforts pour présenter l’accord de libre-échange avec le MERCOSUR comme une réponse aux tensions géopolitiques et commerciales, la perspective d’une signature imminente inquiète fortement les agriculteurs français. La récente ouverture d’Emmanuel Macron à conclure cet accord, lors de la visite officielle du président brésilien, alimente les doutes sur les véritables intentions de l’Élysée. La FNSEA demande une rencontre urgente avec le chef de l’État afin d’éclaircir la position de la France et de discuter des prochaines étapes sur ce dossier crucial pour l’agriculture française.

Pour la FNSEA, la signature du traité de libre-échange avec les pays du MERCOSUR demeure inacceptable. Ses conséquences seraient désastreuses pour notre modèle agricole, notre souveraineté alimentaire et nos marchés économiques. La France a besoin de renforcer son appareil productif agricole pour assurer sa propre sécurité alimentaire et contribuer à celle de ses partenaires. Si la FNSEA reste attachée à des échanges commerciaux ouverts, ils doivent impérativement être équilibrés, équitables et respectueux des standards Français et européens, construits sur les efforts des producteurs.

Dans ce contexte, il serait incompréhensible et irresponsable d’autoriser l’importation de produits agricoles ne respectant ni nos normes de traçabilité, ni nos interdictions en matière de substances actives, ni les engagements climatiques de l’Accord de Paris. Une telle décision constituerait une rupture inacceptable pour le monde agricole.

Enfin, laisser croire que des dispositifs de mesures miroirs ou de clauses de sauvegarde pourraient encore être introduits alors que les négociations sont achevées et suffiraient à apaiser les inquiétudes ne fait qu’aggraver le sentiment d’injustice et d’abandon ressenti sur le terrain.

Pour toutes ces raisons, la FNSEA demande à être reçue en urgence par le Président de la République afin d’éclaircir la position de la France sur ce dossier stratégique, qui sera, sans nul doute, un marqueur fort de ce quinquennat.

Dès à présent, et en complément à cette demande de rendez-vous, la FNSEA appelle son réseau à alerter les eurodéputés français sur le risque majeur que cet accord fait courir à l’agriculture européenne.