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1. Le service d’eau et biodiversité de la DDT en quelques mots Ce service a notamment pour mission la protection de la qualité des eaux et la lutte contre la pollution diffuse par les nitrates.

À l’occasion des 10 ans du logo « Le Porc Français » (LPF), Mickaël Guilloux, président du CRP Pays de la Loire et secrétaire général de la FDSEA 53, a partagé ses réflexions sur les stratégies de

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La préfète de la Mayenne a décidé de classer certaines communes en « cercle 2 » suite à des attaques de loups. Ce classement permet aux éleveurs de ces communes de bénéficier d’aides pour financer

Au beau milieu des pourparlers entre les Etats-Unis et la Commission européenne, certains jouent les oiseaux de mauvais augure pour accélérer la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur

« La Commission européenne a approuvé, le 15 avril, la version révisée du plan stratégique national (PSN) français » pour la campagne 2025, a annoncé le ministère de l’Agriculture dans un communiqué le 22 avril. Paris avait soumis à

La nouvelle provision élevage, déductible de votre résultat imposable, vous permet , dans les meilleurs cas, plus de 10 000 euros en 2025 au titre de vos résultats de l’année 2024. Votée en retard suite

Pour répondre à des difficultés faisant suite de la multiplication des crises sanitaires, climatiques et économiques, le Gouvernement a décidé de la mise en place d’un dispositif exceptionnel de soutien à la trésorerie des exploitations

Organisé pour la première fois il y a deux ans, l’événement Faites de l’énergie est de retour en 2025 à la Maison des agriculteurs, à Changé. Le vendredi 27 juin prochain, plus d’une quarantaine de

Congrès de la FNSEA

Le 78e congrès de la FNSEA s’est ouvert à huis-clos le 26 mars au centre des congrès de Dunkerque, dans le Nord, sur fond de crise agricole non résolue et dans la perspective des élections aux Chambres d’agriculture de janvier 2025. Les congressistes sont en attente de réponses concrètes du Gouvernement sur les dossiers en cours. 

Gestion de l’eau, retraites agricoles, protection des cultures, prédation, projet de loi d’orientation, agriculture bio, affichage nutritionnel et environnemental, exonérations sur la taxe sur le foncier non bâti, fiscalité plus accommodante sur l’épargne de précaution… Les sujets n’ont pas manqué d’alimenter les débats du huis-clos. Dans son discours d’ouverture, le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, a rappelé le contexte particulier de ce congrès, rythmé par trois temps politiques et syndicaux de première importance. En premier lieu : « Nous sommes au cœur d’une mobilisation agricole historique, qui engage toutes les productions, tous les territoires et nous accapare depuis cinq mois maintenant ». En deuxième lieu, « nous avons aussi en ligne de mire les élections européennes de juin prochain. Car, nous devons réfléchir le cadre européen », a-t-il enchaîné. Enfin, dans un troisième temps, le leader du syndicat agricole majoritaire a, dans sa ligne de mire, les élections aux Chambres d’agriculture dee janvier 2025. « C’est dès aujourd’hui que nous devons poser ensemble la base de valeurs et l’état d’esprit qui présideront à cette campagne que nous mènerons conjointement avec les Jeunes Agriculteurs. », a-t-il assuré.   

« On ne désarme pas » 

Plus que des paroles, ce sont des actes que veulent les agriculteurs. Ils constatent que les promesses gouvernementales peinent à s’appliquer. « Il va falloir faire un point précis sur ce qui est acquis, sur ce qui ne l’est pas, sur le travail qui reste à faire. Nous avons passé des jours sur les barrages, puis des semaines à multiplier les réunions, les visioconférences, les rendez-vous en préfecture… 2 500 à 3 000 propositions sont remontées du terrain. Nous devons mettre tout cela au clair. Et aussi, de façon positive, prendre la mesure de ce que le réseau a été capable de porter. C’est un motif de satisfaction », a déclaré Luc Smessaert, vice-président de la FNSEA. Pour le millier de congressistes, le bon sens doit primer « pour ramener la confiance dans les fermes », a-t-il ajouté. Et de citer quelques exemples : « Arrêter de tailler la haie le 15 mars, ce n’est pas possible quand on n’a pas pu le faire cet hiver. Normer le tas de fumier à 2 mètres 50, c’est juste une aberration ». Derrière le discours, on sent que les braises sont encore chaudes et qu’il ne faudrait pas grand-chose pour ressortir les tracteurs dans la rue et devant les préfectures. C’est d’ailleurs le sens de l’intervention de Arnaud Rousseau dans un entretien publié par nos confrères de La Voix du Nord le 26 mars. « On ne désarme pas tant qu’on ne constate pas concrètement que les choses se mettent en place dans les exploitations », a répété Arnaud Rousseau. 


Une belle délégation d’élus mayennais
Autour du président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, la FDSEA de la Mayenne était représentée par (au premier plan et de gauche à droite) : Jean-Luc Chesneau, Alain Belouard, Claude Charon et François Blot. En arrière plan : Jean-Yves Guérot et Florent Renaudier.