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La révision du SAGE Vilaine, le plus vaste schéma de gestion de l’eau en France, est en cours. Si elle est adoptée en l’état, les règles proposées auront des conséquences lourdes pour nos fermes, nos

De Mayenne à Château-Gontier, en passant par Sainte-Suzanne, Bierné ou Landivy, les réunions cantonales de la FDSEA 53 se sont enchaînées ces derniers jours. Moments d’échanges privilégiés avec les adhérents, elles ont permis de faire

La collecte de lait mondiale poursuit sa hausse sur des niveaux record. En septembre 2025, la production des 5 principaux bassins laitiers exportateurs a progressé de 925 millions de litres par rapport à 2024 (+3,9%).

Les 3 et 4 décembre 2025 se sont tenues à Saint Malo les  5ème assises de la FNPL réunissant l’ensemble des représentants des sections laitières des départements français. La première journée consacrée aux échanges et aux

Le ministère de l’Agriculture espagnol a confirmé la détection de 7 nouveaux cas de FPA sur sangliers, ce qui porte à 9 le nombre total d’animaux contaminés à ce jour. Les 7 nouveaux animaux contaminés

Levée de l’ensemble des mesures de restriction des usages de l’eau sur tous les territoires hydrographiques du département Les précipitations des dernières semaines ont permis d’améliorer significativement le débit des cours d’eau du département. Dans

Les exploitants agricoles touchés par les épisodes de grêle des 13 et 25 juin 2025 peuvent désormais déposer leur demande d’indemnisation. La campagne de télédéclaration, ouverte depuis le début de la semaine, se poursuivra jusqu’au

Après avoir franchi le cap des 10 000 oiseaux prélevés sur le département, la FDSEA et Polleniz remettent le couvert en organisant trois nouvelles opérations collectives de piégeage des corneilles noires et des corbeaux freux. En

La Chambre d’agriculture de la Mayenne organise le mardi 9 décembre 2025 une rencontre dédiée aux exploitants concernés par le tracé potentiel de la future canalisation de CO₂ portée par NATRAN. Cette réunion doit permettre

Les premières réunions cantonales de l’année 2025 se sont tenues cette semaine dans les cantons du Horps, de Couptrain, de Pré-en-Pail, de Bais, d’Évron et de Laval Ouest. L’occasion pour les adhérents de la FDSEA

Exclusion des bovins du champ d’IED : la logique a finalement prévalu

Les élevages bovins demeureront bien hors du cadre d’application de la directive européenne sur les « émissions industrielles » (IED). Enfin, et logiquement, un accord politique a été trouvé le 28 novembre lors de la procédure de trilogue entre le parlement européen, le Conseil et la Commission.

… Enfin, car cette décision fait suite à une très longue période de discussions au plan communautaire, enclenchée par la proposition initiale de la Commission, qui avait interloqué les éleveurs. Quant à la position des pouvoirs publics français, elle a été plus qu’ambigüe au cours de cette négociation, alimentant l’incompréhension des producteurs.

… Logiquement, car pour l’élevage bovin, le bon sens a donc prévalu, au vu de la réalité de ses élevages. Non, nos bovins ne sont pas élevés dans des fermes « industrielles », ils reposent sur un modèle de production lié au sol, ancré dans les territoires, à dimension familiale, valorisant des millions d’hectares de prairies et de surfaces fourragères pour une autonomie d’alimentation des cheptels et assurant un ensemble de services environnementaux induits (biodiversité, stockage de carbone, qualité des eaux et paysages,…).

Le FNB et la FNPL, qui se sont très fortement mobilisées pour conserver l’exclusion des bovins, saluent l’action décisive du Parlement européen, et notamment des députés Jérémy DECERCLE, Benoît LUTGEN, Paolo DECASTRO, Anne SANDER, Irène TOLLERET,… La récente tribune publiée à la veille du trilogue, avait d’ailleurs à nouveau mis en lumière toute l’incohérence du dossier !

Il est nécessaire, tant en France qu’en Europe, que soit restitué à l’élevage bovin toute la place qu’il se doit d’occuper au service de la souveraineté alimentaire, des équilibres environnementaux et de la vitalité économique des territoires.

Les éleveurs resteront mobilités pour continuer de faire entendre aux décideurs politiques les dangers majeurs d’une déconnexion des décisions avec la réalité vécue sur le terrain.