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Alors que les agriculteurs attendaient, dans la Proposition de loi Contraintes, une réponse claire et ambitieuse correspondant aux engagements pris après les mobilisations historiques de 2024, les députés, lors des travaux en commission, sont en

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1. Le service d’eau et biodiversité de la DDT en quelques mots Ce service a notamment pour mission la protection de la qualité des eaux et la lutte contre la pollution diffuse par les nitrates.

À l’occasion des 10 ans du logo « Le Porc Français » (LPF), Mickaël Guilloux, président du CRP Pays de la Loire et secrétaire général de la FDSEA 53, a partagé ses réflexions sur les stratégies de

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La préfète de la Mayenne a décidé de classer certaines communes en « cercle 2 » suite à des attaques de loups. Ce classement permet aux éleveurs de ces communes de bénéficier d’aides pour financer

Au beau milieu des pourparlers entre les Etats-Unis et la Commission européenne, certains jouent les oiseaux de mauvais augure pour accélérer la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur

« La Commission européenne a approuvé, le 15 avril, la version révisée du plan stratégique national (PSN) français » pour la campagne 2025, a annoncé le ministère de l’Agriculture dans un communiqué le 22 avril. Paris avait soumis à

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LACTALIS auditionné à l’Assemblée nationale

Mardi 17 décembre 2024 à partir de 16h30, la Commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale auditionnera LACTALIS (représenté par la voix de son DG France) dans le cadre des annonces de septembre dernier (baisse de la collecte sur le territoire national) et leurs perspectives pour l’avenir.

Pour rappel, dès le lendemain de ces annonces, la FNPL avait eu l’occasion de sensibiliser la ministre de l’Agriculture démissionnaire, Annie Genevard. Près de 3 mois après, et malgré les jeux d’instabilité, nous appelons toujours à une mobilisation pleine et entière du Gouvernement sur ce dossier. Demain, la Commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale auditionnera LACTALIS, la FNPL attend de cette audition des réponses précises :
1/ Quelle transparence quant à la stratégie de LACTALIS concernant l’avenir de la filière laitière française ?
2/ Quel accompagnement, notamment financier, est envisagé par le leader mondial auprès des éleveurs impactés ?

La FNPL invite notamment les députés à se saisir des interrogations suivantes :

  • Sur quels fondements la décision d’arrêt de la collecte des producteurs impactés a-t-elle été prise ? Quelle est la stratégie de LACTALIS concernant les producteurs de demain ? (Les producteurs impactés d’ici 2030 auront-ils un calendrier de leur arrêt de collecte plus précis ou devront-ils craindre le prochain communiqué de presse de leur acheteur ?)
  • Si LACTALIS s’est engagé à accompagner la recherche de nouveaux débouchés pour les producteurs, qu’en est-il des conséquences financières qu’ils devront supporter et qui sont induites de l’arrêt de cette collecte (achat d’un tank, adhésion au capital social d’une coopérative, préjudices économiques pour les jeunes installés qui s’étaient engagés avec LACTALIS, …) ?
  • Concernant la structuration de la filière telle que souhaitée par l’Union européenne et les lois EGAlim : quelle place LACTALIS accorde-t-il aux OP qu’il contourne en dénonçant les contrats individuellement auprès des producteurs ? Faut-il pousser à la gestion des volumes et la mise en place d’OP commerciales (ayant le transfert de propriété des produits agricoles) pour que les négociations agricoles deviennent enfin équilibrées ?
    Par ailleurs, le caractère brutal de la rupture de la relation d’affaires parfois établie depuis plusieurs années peut être questionné au regard d’un préavis de résiliation de 12 mois seulement…
  • Au regard des marchés : comment LACTALIS peut-il soutenir maintenir sa production en diminuant de près de 9% sa collecte sur le territoire national ? Faut-il entendre du leader mondial que la compétitivité de la ferme laitière française doit s’inscrire dans les importations étrangères ? Doit-on craindre pour l’avenir de l’« origine France » de nos produits laitiers sur le marché national ?