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Bonne nouvelle : l’opération rénovation des luminaires pour équiper vos bâtiments agricoles en luminaires LED intelligents est toujours en cours ! 🌱 En quoi consiste cette offre ? En collaboration avec LA FNSEA, EDF et

Comme chaque année en début d’automne, le CNIEL publie la mise à jour de l’indicateur prix de revient. Il correspond au prix minimum nécessaire pour couvrir les charges et une rémunération de la main d’œuvre

L’assouplissement du statut de protection du loup dans la Convention de Berne puis dans la directive Habitats, génère des changements sur le plan national. À l’issue de la réunion du groupe national « loup » qui s’est tenue mardi 23 septembre,

La révision du SAGE Vilaine, le plus vaste schéma de gestion de l’eau en France, est en cours. Si elle est adoptée en l’état, les règles proposées auront des conséquences lourdes pour nos fermes, nos

Dans le cadre de l’appel national lancé par la FNSEA à se mobiliser ce vendredi 26 septembre, la FDSEA53 et les Jeunes Agriculteurs de la Mayenne ont rencontré nos parlementaires Guillaume Garot, Yannick Favennec et

La section laitière de la FRSEA Ouest a tenu sa conférence de presse de rentrée lors du SPACE cette semaine, l’occasion pour Pascal Nizan, le Président, de faire une revue des sujets d’actualité de la

Mickaël Guilloux, secrétaire général de la FDSEA 53, alerte sur une profession devenue « variable d’ajustement » dans le jeu mondial. Entre Mercosur, Sage Vilaine et blocage des exportations porcines vers la Chine, il appelle

Vendredi 12 septembre, nous avons rencontré l’eurodéputée Valérie Hayer aux côtés des JA 53 et de la Chambre d’agriculture. Cette rencontre a été l’occasion d’aborder plusieurs dossiers majeurs pour l’avenir de nos exploitations : le

Pour sa première visite officielle en exploitation agricole depuis son arrivée en Mayenne le 1er septembre, la préfète Nadège Baptista a répondu à l’invitation de la FDSEA 53. Le vendredi 12 septembre, elle s’est rendue

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation des bassins hydrographiques du département, mardi 16 septembre. Les récentes pluies permettent un assouplissement des restrictions. L’Oudon est rétrogradé en alerte, et la Sarthe amont,

Lait : l’indicateur prix de revient toujours en hausse en 2024.

Comme chaque année en début d’automne, le CNIEL publie la mise à jour de l’indicateur prix de revient. Il correspond au prix minimum nécessaire pour couvrir les charges et une rémunération de la main d’œuvre des exploitants à hauteur de deux SMIC, en prenant en compte les aides et les autres produits associés comme la viande. Pour l’année 2024 il s’établit, en plaine, à 491€/1000L (+4,3%/ 2023) pour les exploitations conventionnelles et à 568€/1000L (+6,2%/ 2023) pour les exploitations biologiques. Il constitue un point de comparaison avec le prix du lait à teneur réelle.

Cet indicateur est issu d’un traitement de données réalisé par l’IDELE à partir des données et résultats statistiques fournis par les centres de gestion et organismes de conseil en élevage. Ils sont issus de clôtures d’exercices comprises entre le 31/03/2024 et le 31/12/2024. Il est validé par les 4 collèges de l’interprofession et est donc la référence pour la prise en compte des coûts de production des éleveurs dans les formules de calcul du prix du lait.

L’évolution de cette indicateur montre que l’augmentation des charges au sein des élevages laitiers est toujours d’actualité, d’autant plus au sein de la filière biologique.

« Les industriels laitiers vont prochainement envoyer leurs conditions générales de vente aux distributeurs en précisant la valeur de la matière première agricole. Une revalorisation de cette dernière est indispensable au vu de l’augmentation du prix de revient.

Au regard de ces éléments et du décalage conjoncturel très fort (environ 50€/1000L) entre le prix Français et le prix allemand depuis le début de l’année, les éleveurs laitiers ne pourraient pas comprendre et accepter une baisse du prix dans les prochains mois. Le prix du lait doit entreprendre un rattrapage pour permettre aux éleveurs d’investir dans les fermes, de moderniser l’outil de travail et de rendre économiquement attractive notre filière. » précise Pascal Nizan, Président de la FRSEA Ouest section lait.