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À l’occasion des 10 ans du logo « Le Porc Français » (LPF), Mickaël Guilloux, président du CRP Pays de la Loire et secrétaire général de la FDSEA 53, a partagé ses réflexions sur les stratégies de

Depuis le vendredi 25 avril, un premier groupe de la Section départementale des anciens exploitants agricoles de la FDSEA de la Mayenne (SDAE 53) est en séjour au Monténégro. Visites d’un domaine viticole et d’une

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La préfète de la Mayenne a décidé de classer certaines communes en « cercle 2 » suite à des attaques de loups. Ce classement permet aux éleveurs de ces communes de bénéficier d’aides pour financer

Au beau milieu des pourparlers entre les Etats-Unis et la Commission européenne, certains jouent les oiseaux de mauvais augure pour accélérer la procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur

« La Commission européenne a approuvé, le 15 avril, la version révisée du plan stratégique national (PSN) français » pour la campagne 2025, a annoncé le ministère de l’Agriculture dans un communiqué le 22 avril. Paris avait soumis à

La nouvelle provision élevage, déductible de votre résultat imposable, vous permet , dans les meilleurs cas, plus de 10 000 euros en 2025 au titre de vos résultats de l’année 2024. Votée en retard suite

Pour répondre à des difficultés faisant suite de la multiplication des crises sanitaires, climatiques et économiques, le Gouvernement a décidé de la mise en place d’un dispositif exceptionnel de soutien à la trésorerie des exploitations

Organisé pour la première fois il y a deux ans, l’événement Faites de l’énergie est de retour en 2025 à la Maison des agriculteurs, à Changé. Le vendredi 27 juin prochain, plus d’une quarantaine de

Avec la publication le 26 mars des nouveaux tarifs de rachat de l’électricité, l’État a entendu les craintes du secteur et notamment celles portées par la FNSEA. En 2024, il s’est installé deux fois plus

Les industriels privés prennent en otage l’interprofessionlaitière : la FNPL prend ses responsabilités

En bloquant la publication des indices d’évolution des charges agricoles, la FNIL a renié un
engagement pris à l’unanimité en juin dernier. Ce revirement aux motifs douteux est inacceptable pour la FNPL, qui a pris la décision au sein du collège producteurs de suspendre avec effet immédiat sa participation aux travaux interprofessionnels.

Depuis les négociations commerciales 2023, la FNPL oeuvre pour que soient disponibles des outils plus réactifs et plus en phase avec le pas de temps des négociations commerciales. C’est ainsi que l’indicateur prix de revient du CNIEL a été publié en septembre pour préparer les négociations commerciales. En complément de cette publication avancée dans le temps, la FNPL a souhaité pour aider les OP à la négociation que soient publiés par le CNIEL (Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière) des indices d’évolution de l’ensemble des charges agricoles (l’indice IPAMPA ne reflète que 60 % des charges = les charges opérationnelles).

À chaque fois, la FNPL a souhaité qu’il s’agisse d’indicateurs de référence au sens de la loi EGalim, par conséquent la publication doit être interprofessionnelle. Cela a donc fait l’objet de validations dans les instances du CNIEL. Pourtant, à chaque fois, le collège des industries privées est revenu sur cette décision : après publication pour l’indicateur prix de revient ou avant publication pour les indices d’évolution des charges.

Cette prise en otage des producteurs qu’ils soient adhérents de coopératives ou d’OP est inacceptable. Le CNIEL doit fournir des informations économiques pour les acteurs de la filière. Or cette action est précisément remise en cause.

La FNPL demande donc à son réseau de suspendre sa participation aux CRIEL dans l’attente que les conditions soient réunies pour une reprise des discussions : cette demande doit bien sûr être adaptée au contexte régional. Trois priorités doivent être rappelées dans le courrier :

  • La publication des indicateurs économiques tels que demandé par le collège producteurs du CNIEL : les indices d’actualisation des postes de charges agricoles puis après un travail interprofessionnel, la publication d’un indicateur beurre poudre concomitamment à celle d’un indicateur de valorisation export ;
  • La transmission des données qualité aux OP et des volumes via InfoLabo ;
  • La réouverture immédiate des grilles Matière Grasse dans les CRIEL.

Il est majeur de redemander l’ouverture des grilles matière grasse.

Ce bras de fer engagé par la FNIL est inacceptable, il oblige les producteurs à répondre avec la même force. La FNPL n’est pas dupe de l’influence de Lactalis dans ces actes.