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Jusqu’ici en accord avec la stratégie vaccinale du gouvernement contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), FNSEA, JA, FNPL, FNB dénoncent les nouvelles mesures prises par le gouvernement, dans un communiqué le 17 octobre, une décision

La Section départementale des anciens exploitants agricoles (SDAE 53) de la FDSEA53 a tenu son assemblée générale mardi 21 octobre à Loiron-Ruillé, avec plus de 300 participants. « On a connu les JA, maintenant on

« Dans un contexte de progression rapide de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) en France, et suite aux annonces ministérielles, le CRIEL Normandie Lait et le Cilouest souhaitent relayer auprès de chacun d’entre vous le courrier

La préfecture de la Mayenne a communiqué une nouvelle évaluation de la situation hydrologique au 21 octobre 2025. Malgré quelques épisodes de pluie ponctuels ces dernières semaines, les débits des cours d’eau restent faibles, et

La préfète de la Mayenne a annoncé le lancement des paiements d’avances sur les aides de la Politique agricole commune (PAC) à compter du 16 octobre 2025. Cette année, 98 % des exploitants agricoles mayennais

La préfecture de la Mayenne a communiqué une nouvelle évaluation de la situation hydrologique au 15 octobre 2025. Malgré quelques épisodes de pluie ponctuels ces dernières semaines, les débits des cours d’eau restent faibles, et

Le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a annoncé, par un arrêté du 14 octobre 2025, le relèvement du niveau de risque d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) à “modéré” sur l’ensemble du territoire

Dans ce contexte où le Président du Cniel a été poussé à la démission, le collège producteurs de l’interprofession s’offusque des positions tenues et des remises en cause des écrits par la Fnil (Fédération National

La MSA organise une formation pratique les jeudi 30 et vendredi 31 octobre 2025 à Martigné-sur-Mayenne, destinée aux salariés agricoles en polyculture-élevage, salariés de groupements d’employeurs, agents de remplacement, salariés de CUMA et d’ETA, apprentis

Le jeudi 2 octobre, le réseau FNSEA des Pays de la Loire accueillait Christophe Chambon, éleveur laitier dans le Doubs et secrétaire général adjoint national. L’occasion de revenir sur le travail syndical de ces derniers

Les renégociations commerciales anticipées ne doivent pas compromettre le revenu des éleveurs de chèvres 

Lors de la Commission Mixte Paritaire concernant le projet de loi portant sur les mesures d’urgence pour lutter contre l’inflation, députés et sénateurs ont confirmé la volonté d’anticiper les négociations commerciales entre transformateurs et distributeurs dans l’objectif de faire baisser certains prix de vente au consommateur. Si l’on peut comprendre l’enjeu pour le gouvernement de disposer du cadre législatif pour redonner du pouvoir d’achats aux français, le discours porté sur la baisse des prix n’est pas en phase avec la réalité dans les élevages caprins. 

 Le gouvernement met en avant, pour justifier une baisse des coûts de production, or ces baisses, les éleveurs sont loin de les constater sur leurs exploitations ! 

L’Ipampa Lait de Chèvre ne fait que se stabiliser (-0,2% entre le T2 et le T3 de 2023), après une hausse continue et record depuis 2 ans, mais reste encore supérieur de 13% par rapport au 3ème trimestre de 2022 ! 

Les charges non indicées dans l’Ipampa Lait de chèvre, quant à elles, ont augmenté fortement, comme les travaux réalisés par des tiers, les fermages, le coût de la main d’oeuvre salariée de l’exploitation, et autres charges. Ces charges pèsent pour plus du quart dans le coût de production du lait de chèvre. Dans ces conditions, une hausse du prix du lait de chèvre serait nécessaire pour que les éleveurs de chèvres puissent maintenir le niveau de vie de leurs familles qui font face à l’inflation comme tout le monde. 

Notre objectif est de garantir aux éleveurs que les renégociations à venir n’impacteront pas le prix du lait : la loi Egalim2 assure la prise en compte de la MPA (matière première agricole) dans les conditions générales de vente du transformateur. Nous attendons des transformateurs et distributeurs qu’il en soit réellement ainsi et que les éleveurs ne se retrouvent pas comme variable d’ajustement des renégociations commerciales.