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L’exercice du projet de loi de finances 2024 revêt un caractère crucial dans un contexte de planification écologique et de Pacte et Loi d’Orientation et d’Avenir agricoles. La FNSEA a mené avec fermeté et détermination

La nouvelle Pac, entrée en vigueur début 2023, introduit le système de suivi des surfaces en temps réel et le droit à l’erreur. Ce nouveau fonctionnement a engendré des modifications possibles des déclarations jusqu’au 20

Esod/nuisibles : Organisée conjointement avec la Fédération des chasseurs de la Mayenne, la prochaine formation de la FDSEA vous permettant d’obtenir votre agrément de piégeur, est ouverte aux inscriptions. Dépêchez-vous de vous inscrire ! Portée par la

Esod/nuisibles : FDSEA53 et Fédération de Chasse de la Mayenne attendent de pieds fermes les textes permettant la déclinaison de l’accord national sur la régulation des populations de sangliers. A plusieurs reprises ces derniers mois,

Les débits des cours d’eau observés ont atteint le seuil de vigilance sur les territoires hydrographiques de la Mayenne médiane et aval et de la Sarthe amont. Le seuil de vigilance est levé sur les territoires hydrographiques de la Mayenne amont Ouest et

Vous avez des difficultés à rédiger le document unique d’évaluation des risques (DUER)? La FDSEA de la Mayenne vous accompagne … Le DUER est obligatoire pour toutes les exploitations agricoles qui ont des salariés, reçoivent

Lundi, les sept candidats mayennais, ou leurs suppléants, aux sénatoriales avaient rendez-vous dans une exploitation agricole pour échanger avec la FDSEA et les JA de la Mayenne. Quatre ont répondu présent. « Par cette rencontre,

Dimanche, une violente tornade s’est formée puis déplacée dans le secteur de Juvigné et Saint-Pierre-des-Landes, détruisant des bâtiments agricoles, anéantissant, pour certains, des années d’entreprenariat et de développement d’outils de production. Face à ce drame,

L’ouverture du dispositif relatif aux modalités de mise en œuvre des avances sur la prise en charge des pertes économiques des éleveurs liées à l’épisode d’influenza aviaire 2022-2023, initialement fixée jusqu’au 15 septembre 2023 à

Hier, lors de l’évènement Terres de Jim organisé par Jeunes Agriculteurs, le Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire a présenté le projet de contenu du futur pacte et de la future loi d’orientation

Négociations commerciales : les producteurs de lait ne peuvent pas être la variable d’ajustement !

L’ouverture des négociations commerciales anticipée est une source d’inquiétude très forte pour
les éleveurs laitiers. À aucun moment dans la communication de Bruno Le Maire, l’exemption qui
prévalait jusque-là pour la filière laitière n’a été confirmée. Pourtant, plus que jamais, nous avons
besoin de signaux durables pour assurer le renouvellement des générations : en 2022, la France
était à la traîne en termes du prix du lait, les producteurs ont accepté une déconnexion avec leurs
voisins européens, convaincus qu’EGalim les protégerait lors d’un retournement de marché !
Encore faudrait-il que l’État ne casse pas toute cette dynamique !

La FNPL n’accepte pas que le ministre de l’Économie puisse annoncer des baisses de prix dès le
mois de janvier alors qu’à l’amont, les charges se situent toujours à des niveaux élevés. Rappelons
que les éleveurs ne maitrisent pas plus que Bercy la conjoncture mondiale et son impact sur les
comptes d’exploitation des fermes.
La France est – parmi les principaux pays producteurs européens – le seul où la collecte continue de
reculer, soyons conscients qu’à terme, c’est toute la filière qui est en danger. La FNPL réclame
donc une mise en oeuvre exemplaire des lois EGalim dans le secteur laitier : cela passe
évidemment, si nécessaire, par des médiations ou des mesures coercitives. Cependant les relations
de filière ne peuvent se résumer qu’à des conflits juridiques, la confiance et la co-construction entre
les acteurs doivent exister et perdurer.
Le travail conjoint et complémentaire des OP et de la FNPL montre que des résultats ont été obtenus
puisque certaines entreprises affichent des objectifs de prix 2023 au-dessus de 2022 tout en
garantissant une origine France de leurs produits laitiers. Pour la FNPL toutes les entreprises,
tant privées que coopératives doivent entendre l’urgence et arriver en fin d’année au même
résultat.
Aujourd’hui, davantage de questions se posent :

  • Comment atteindre les objectifs ambitieux du Pacte et de la Loi d’Orientation et d’Avenir
    agricoles (PLOA) si dans le même temps l’État réclame des baisses de prix des produits
    alimentaires et donc de la rémunération des éleveurs ?
  • L’alimentaire serait-il le seul levier pour redonner du pouvoir d’achat aux ménages ?
  • L’État est-il prêt à ouvrir la porte aux importations pour que cela coûte moins cher aux
    consommateurs sans souci de qualité ou de durabilité ?
  • Faudrait-il donc passer outre une application scrupuleuse des lois EGalim avant même son
    application pleine entière en dépit de votes unanimes des parlementaires ?

L’État doit tenir ses engagements en faveur de la rémunération des
producteurs !