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Ce vendredi, des adhérents de la FDSEA 53 et des Jeunes Agriculteurs de la Mayenne se sont rassemblés devant la Préfecture de Laval pour dénoncer l’accord Mercosur et la future taxe carbone sur les engrais.

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté actualisant les mesures de restriction des usages de l’eau. Si la situation continue de s’améliorer sur certains bassins, la vigilance reste de mise pour d’autres

A partir du 1er janvier 2026, certaines demandes de dérogations individuelles au cahier des charges agriculture biologique deviendront payantes. Un champ d’application ciblé Toutes les dérogations ne sont pas concernées par cette nouvelle procédure. Cinq

PCAE élevage : la Région ouvre un appel à projets du 13 novembre 2025 au 30 avril 2026 pour accompagner les investissements en productions animales.   Dans le cadre de la programmation 2023-2027, les exploitations

La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté concernant la gestion de l’eau sur le département. Si certaines zones voient leurs restrictions allégées, d’autres restent sous surveillance. Au 4 novembre 2025, la situation

Par délibération en date du 21 mars 2025, la Commission locale de l’eau a validé le projet de Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Vilaine. Conformément à l’article R.212-40 du Code

À l’heure où les travaux d’automne s’achèvent et où les ressources naturelles se raréfient avec l’arrivée de l’hiver, la faune sauvage se rapproche des exploitations agricoles à la recherche de nourriture et d’abris. Cette période

Le Conseil fédéral s’est tenu le mardi 4 novembre dernier à Argentré, à la salle L’Escapade. Ce moment d’échanges a marqué le début d’une réflexion importante : notre réseau FDSEA 53 va évoluer. Pourquoi ?

La FDSEA 53 organise une journée dédiée aux femmes du monde agricole le mardi 18 novembre 2025, de 10h30 à 16h30 au restaurant Le Maine, 6 Rue Fernand Soulet, 53000 Laval. Un moment convivial et

L’eau est un patrimoine commun de la Nation, comme le reconnaît le Code de l’environnement. Sa gestion doit donc relever d’une responsabilité collective, équilibrée et transparente, au service de l’intérêt général. Cette exigence environnementale rejoint

Présidence du CNIEL : la FNPL au travail pour dessiner un projet renouvelé à la filière laitière ! 

Au moment de fêter les 50 ans de l’interprofession, nous regrettons qu’aucun consensus n’ait été trouvé pour désigner un ou une successeur(e) à Thierry Roquefeuil, que nous remercions pour son engagement sans faille. 

 Ces dernières semaines, nous avons présenté un projet à l’ensemble de familles du CNIEL, dont l’axe principal est de rénover en profondeur le plan de filière France Terre de Lait et permettre ainsi de conserver nos actifs et regagner le milliard de litres de lait perdu depuis deux ans. Ce projet porté par Marie-Andrée Luherne s’inscrit, à la fois, dans la continuité des précédentes présidences du CNIEL exercées par la FNPL, de Jean-Michel Lemétayer à Thierry Roquefeuil, en passant par Henri Brichart, mais aussi avec un esprit de responsabilité face à la situation de notre filière, dont la souveraineté est clairement mise en danger. 

Historiquement, la FNPL s’est toujours positionnée au coeur de l’action interprofessionnelle, par la cotisation payée par les producteurs (3/4 de la CVO) et par les propositions qu’elle met en débat : c’est ici l’ADN du syndicalisme majoritaire que d’être un porteur de solutions. Pour l’équipe FNPL élue en avril dernier, la trajectoire n’a pas changé : nous voulons dessiner un projet de filière à l’interprofession avec l’ensemble des familles, les (A)OP, les coopératives, les industriels privés, les acteurs de la restauration hors foyer, de la grande distribution. 

Aujourd’hui, malgré le travail déjà accompli lors des précédentes mandatures, il reste encore des chantiers inachevés. Or, dans un contexte totalement incertain, lié aux élections législatives à venir et aux conséquences des Européennes passées, la FNPL considère qu’il faut amener de la stabilité à la tête de l’interprofession. 

La FNPL souhaite que l’interprofession se saisisse collectivement d’un projet économique de filière, qui prenne acte de la baisse de la collecte subie ces dernières années et de la nouvelle donne économique : la montée en gamme n’est pas la panacée pour l’avenir de notre filière. La FNPL aura à coeur de toujours prendre ses responsabilités, comme elle le fait depuis plusieurs semaines, afin de répondre aux attentes des producteurs, engagés dans tous les territoires, pour produire du lait à destination de l’ensemble des citoyens-consommateurs. C’est bien là l’enjeu qui doit tous nous réunir demain ! 

Enfin, la FNPL regrette que, malgré ses propositions, aucun consensus n’ait été trouvé pour la Présidence de l’interprofession. Pourtant la position de la FNPL est claire : celui qui est majoritaire financièrement gouverne ! Est-ce aux producteurs de lait de l’expliquer à des responsables économiques ? Aujourd’hui la FNPL a fait la proposition, d’une CVO qui soit ambitieuse et égalitaire entre les familles, dans le cadre du futur accord interprofessionnel qui prendra effet en 2026. La FNPL n’a qu’une seule ligne : mêmes droits, mêmes devoirs !