News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

Jeunes Agriculteurs et la FNSEA réaffirment avec force leur opposition totale à l’accord de libre-échange avec les pays du MERCOSUR. En validant l’accord en l’état, malgré la promesse de mesures de sauvegarde, la Commission Européenne

Les dernières observations des niveaux d’eau indiquent une aggravation de la situation hydrologique dans le département. Le prochain arrêté préfectoral devrait placer la quasi-totalité des bassins en alerte renforcée, à l’exception du bassin Mayenne amont

Les éleveurs de poules pondeuses dénoncent vivement la commercialisation et la promotion d’oeufs ukrainiens dans les rayons des enseignes Leclerc et Carrefour. Ces œufs, issus de poules élevées en cage ne respectant pas le standard

La procédure de ratification de l’accord entre l’Union européenne et le Mercosur est désormais lancée. Après un report en début d’été, la présentation de l’accord auprès du collège des Commissaires s’est finalement tenue ce matin.

Ce mercredi, la préfète de la Mayenne et le président de la chambre d’agriculture ont signé la Charte départementale des contrôles en exploitation agricole. Cette charte s’inscrit dans le cadre de la circulaire du Premier

Dans un communiqué publié le mercredi 27 août, la préfecture de la Mayenne rappelle que « la situation reste préoccupante », et ce, « malgré les récentes pluies ». Aussi, les restrictions d’usages de l’eau

La censure par le Conseil constitutionnel de l’article 2 de la loi Duplomb, qui visait à permettre l’usage de l’acétamipride en France, suscite une vive inquiétude dans le monde agricole. Cette molécule, autorisée dans 26

L’indice national des fermages s’établit pour 2025 à 123,06. Ainsi, la variation de l’indice national des fermages 2025 par rapport à l’année 2024 est de + 0,42 %. L’indice national des fermages est utilisé pour

L’évolution à la baisse des débits des cours d’eau conduit à placer les bassins de la Mayenne amont est, de la Mayenne médiane et aval et de la Sarthe amont en alerte renforcéeet à maintenir

Moisson 2024 : une réponse du ministre inadaptée à l’ampleur du désastre !

Le président de la FNSEA a signifié par courrier, vendredi dernier, au ministre de l’Agriculture les demandes urgentes de la FNSEA pour répondre aux situations difficiles de nombreuses exploitations à la suite d’une moisson catastrophique.

Pour seule réponse, le ministre se contente de réaliser l’inventaire de la boite à outils ! C’est méconnaitre gravement les situations dramatiques qui s’annoncent sur de nombreuses fermes.

Certes, le dispositif d’assurance récolte et de solidarité nationale, pour lequel nous avons combattu pour en améliorer l’efficacité et le financement face à un gouvernement peu ambitieux, va jouer son rôle d’amortisseur, mais cela ne dispense pas la mise en place de mesures de trésorerie dont une partie du coût doit être pris en charge par l’Etat pour être supportable.

Certes, le dispositif d’épargne de précaution va être un outil efficace pour ceux qui ont pu l’utiliser, mais il ne dispense pas l’Etat d’honorer la promesse d’en défiscaliser une partie lors de la réintégration ! Il n’interdit pas non plus de systématiser les dégrèvements de TFNB dans les départements pour éviter les demandes individuelles.

Les caisses de MSA pourront également accorder des reports et des prises en charge de cotisations sociales, mais les 30 millions annuels sont déjà à peine suffisants pour faire face aux situations difficiles habituellement rencontrées. D’autant que la situation sanitaire nécessitera d’engager des moyens supplémentaires en direction des éleveurs. Il est indispensable de démultiplier le budget consacré à ce fonds !

Force est de constater que le ministre n’a pas pris la mesure de l’ampleur des conséquences catastrophiques d’une moisson historiquement désastreuse. Nous n’aurons de cesse que de rappeler au futur gouvernement, dès sa désignation, l’urgence de la situation et la nécessité d’agir au plus vite.

Retrouvez ci dessous le courrier du président de la FNSEA au ministre de l’Agriculture :