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L’absence de précipitations entraine une  baisse significative des débits des cours d’eau et le déclenchement des premières mesures de restrictions pour notre département.  L’évolution des débits conduit à placer les bassins  (carte jointe)  : – 

Mercredi 25 juin, la grêle s’est à nouveau abattue sur le département. Et elle a généré une nouvelle fois de gros dégâts sur les parcelles, bâtiments et engins agricoles. Après le premier épisode survenu le

Les membres du conseil d’administration de la section laitière de la FRSEA Ouest se sont retrouvés à Janzé sur le nouveau site du laboratoire MYLAB cette semaine. Depuis le 1er janvier 2025 l’ensemble des analyses

Jeudi et vendredi, les syndicats FDSEA53 et JA 53 ont mené des actions de stickage dans plusieurs enseignes LIDL de la Mayenne pour dénoncer les prix du lait non rémunérateurs et le redémarrage d’une guerre

Avec l’épisode de canicule en cours et des températures pouvant atteindre jusqu’à 38°C en Mayenne, la vigilance s’impose. Dans ce contexte de risque élevé d’incendies agricoles, il est important de rappeler la convention signée le

Mardi 17 juin, la FDSEA et les Jeunes agriculteurs donnaient rendez-vous à la presse pour faire écho aux dégâts constatés suite au passage de grêle de vendredi dernier. Reçu par Stéphane et Maryline Triguel, au

La FNSEA vient d’être à nouveau reconnue comme l’unique organisation représentative des employeurs de la branche de la production agricole, des Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole (CUMA) et des parcs zoologiques privés ouverts au public,

Les services de l’État et la chambre d’Agriculture de la Mayenne ont organisé, le 11 juin 2025, une matinée pédagogique sur la ferme de Mickaël et Véronique Cousin à Peuton pour répondre aux interrogations de

Alors que la Commission européenne multiplie les efforts pour présenter l’accord de libre-échange avec le MERCOSUR comme une réponse aux tensions géopolitiques et commerciales, la perspective d’une signature imminente inquiète fortement les agriculteurs français. La

Après la visite du Président Lula la semaine dernière à Paris, les récentes prises de parole du Président Macron laissent les éleveurs dubitatifs… Le Président qui, jusqu’à lors, refusait clairement l’accord issu des négociations entre

Les industriels privés prennent en otage l’interprofessionlaitière : la FNPL prend ses responsabilités

En bloquant la publication des indices d’évolution des charges agricoles, la FNIL a renié un
engagement pris à l’unanimité en juin dernier. Ce revirement aux motifs douteux est inacceptable pour la FNPL, qui a pris la décision au sein du collège producteurs de suspendre avec effet immédiat sa participation aux travaux interprofessionnels.

Depuis les négociations commerciales 2023, la FNPL oeuvre pour que soient disponibles des outils plus réactifs et plus en phase avec le pas de temps des négociations commerciales. C’est ainsi que l’indicateur prix de revient du CNIEL a été publié en septembre pour préparer les négociations commerciales. En complément de cette publication avancée dans le temps, la FNPL a souhaité pour aider les OP à la négociation que soient publiés par le CNIEL (Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière) des indices d’évolution de l’ensemble des charges agricoles (l’indice IPAMPA ne reflète que 60 % des charges = les charges opérationnelles).

À chaque fois, la FNPL a souhaité qu’il s’agisse d’indicateurs de référence au sens de la loi EGalim, par conséquent la publication doit être interprofessionnelle. Cela a donc fait l’objet de validations dans les instances du CNIEL. Pourtant, à chaque fois, le collège des industries privées est revenu sur cette décision : après publication pour l’indicateur prix de revient ou avant publication pour les indices d’évolution des charges.

Cette prise en otage des producteurs qu’ils soient adhérents de coopératives ou d’OP est inacceptable. Le CNIEL doit fournir des informations économiques pour les acteurs de la filière. Or cette action est précisément remise en cause.

La FNPL demande donc à son réseau de suspendre sa participation aux CRIEL dans l’attente que les conditions soient réunies pour une reprise des discussions : cette demande doit bien sûr être adaptée au contexte régional. Trois priorités doivent être rappelées dans le courrier :

  • La publication des indicateurs économiques tels que demandé par le collège producteurs du CNIEL : les indices d’actualisation des postes de charges agricoles puis après un travail interprofessionnel, la publication d’un indicateur beurre poudre concomitamment à celle d’un indicateur de valorisation export ;
  • La transmission des données qualité aux OP et des volumes via InfoLabo ;
  • La réouverture immédiate des grilles Matière Grasse dans les CRIEL.

Il est majeur de redemander l’ouverture des grilles matière grasse.

Ce bras de fer engagé par la FNIL est inacceptable, il oblige les producteurs à répondre avec la même force. La FNPL n’est pas dupe de l’influence de Lactalis dans ces actes.