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Bandes végétalisées, les règles à connaitre La mesure de maintien de bandes enherbées concerne tous les exploitants ayant au moins un îlot cultural en zone vulnérable, pour tous les îlots culturaux en zone vulnérable qui

Les dernières précipitations ont permis une remontée des débits des cours d’eau. Les seuils des bassins hydrographiques en Mayenne évoluent donc : l’Oudon reste en alerte renforcée ; la Sarthe amon, aval, la Mayenne amont

Lactalis : opprimer les producteurs et leurs représentants, encore et toujours !  Cela va faire un an que Lactalis a décidé de rompre unilatéralement des contrats avec les éleveurs pour 10 % de sa collecte.

Il y a déjà deux mois, la Mayenne vibrait au rythme du Tour de France avec un moment inoubliable : la fresque agricole réalisée à Marigné-Peuton par la FDSEA 53 et les Jeunes Agriculteurs. Sous

SOLAAL sur le Grand Ouest lance un appel au don de lait pour valoriser les éleveurs qui sont déjà engagés dans la démarche et inciter ceux qui ne font pas encore de don de lait

Le Copa-Cogeca lance une enquête auprès de tous ses membres sur les contraintes environnementales et réglementaires en élevage. Il est très important d’y répondre : la Commission européenne travaille actuellement sur un chantier de simplification qui inclut

Le Tribunal judiciaire de Laval a rendu son jugement dans l’affaire qui nous oppose depuis près de dix ans au groupe Lactalis. Le verdict est tombé : la FDSEA53 est condamnée à verser plus de

Jeunes Agriculteurs et la FNSEA réaffirment avec force leur opposition totale à l’accord de libre-échange avec les pays du MERCOSUR. En validant l’accord en l’état, malgré la promesse de mesures de sauvegarde, la Commission Européenne

Les dernières observations des niveaux d’eau indiquent une aggravation de la situation hydrologique dans le département. Le prochain arrêté préfectoral devrait placer la quasi-totalité des bassins en alerte renforcée, à l’exception du bassin Mayenne amont

Les éleveurs de poules pondeuses dénoncent vivement la commercialisation et la promotion d’oeufs ukrainiens dans les rayons des enseignes Leclerc et Carrefour. Ces œufs, issus de poules élevées en cage ne respectant pas le standard

Réaction de Yohann Barbe, président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL)

Lactalis : opprimer les producteurs et leurs représentants, encore et toujours ! 

Cela va faire un an que Lactalis a décidé de rompre unilatéralement des contrats avec les éleveurs pour 10 % de sa collecte. Loin de laisser passer une telle manigance, la FNPL et son réseau ont immédiatement réagi pour soutenir les éleveurs, dénoncé cette décision et se battre pour trouver de nouveaux collecteurs aux élevages touchés. Or le syndicalisme majoritaire dérange le leader mondial, car il est légitime et juste dans ses revendications ! C’est pour une telle raison que pendant près de dix ans, Lactalis gardait une épée de Damoclès au-dessus de la tête de la FDSEA de la Mayenne avec une affaire judiciaire suite aux mobilisations tristement célèbres de 2016. Tristement célèbres, car les éleveurs étaient payés à des niveaux dérisoires et ne vivaient pas de leur métier. Lactalis était malheureusement le leader pour mal payer les producteurs ! Aujourd’hui la sentence est tombée : la FDSEA 53 doit payer plus de 150 000 € de préjudice au géant laitier. Cette stratégie d’affaiblir un syndicat revendicatif et responsable est-elle judicieuse de la part du leader mondial ? Notre syndicalisme prône pourtant le dialogue et la construction, aux côtés des Organisations de producteurs. Si c’est cela que Lactalis veut voir disparaitre, qu’il soit conscient de qui seront ses futurs interlocuteurs ! Notre stratégie de défense des éleveurs laitiers semble déranger ? Nous arrêterons-nous ? Non ! Car les éleveurs ont besoin de porte-paroles pour soutenir leurs revendications, c’est le sens de notre syndicalisme FNSEA/JA/FNPL ! Nous continuerons, nous renforcerons nos actions, car elles ont du sens. Produire du lait en France, à un prix rémunérateur et en respectant les hommes et les femmes qui sont engagés dans les fermes et dans nos réseaux syndicaux. Cela correspond à notre âme syndicale et nous ne lâcherons rien ! Alors l’avertissement est lancé : si pour financer le rachat d’une partie des activités de Fonterra, Lactalis doit encore abandonner des producteurs de lait français, la FNPL et son réseau seront encore et toujours là pour les défendre et le dénoncer par toutes les formes possibles !