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La préfecture de la Mayenne a publié un nouvel arrêté concernant la gestion de l’eau sur le département. Si certaines zones voient leurs restrictions allégées, d’autres restent sous surveillance. Au 4 novembre 2025, la situation

Par délibération en date du 21 mars 2025, la Commission locale de l’eau a validé le projet de Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Vilaine. Conformément à l’article R.212-40 du Code

À l’heure où les travaux d’automne s’achèvent et où les ressources naturelles se raréfient avec l’arrivée de l’hiver, la faune sauvage se rapproche des exploitations agricoles à la recherche de nourriture et d’abris. Cette période

Le Conseil fédéral s’est tenu le mardi 4 novembre dernier à Argentré, à la salle L’Escapade. Ce moment d’échanges a marqué le début d’une réflexion importante : notre réseau FDSEA 53 va évoluer. Pourquoi ?

La FDSEA 53 organise une journée dédiée aux femmes du monde agricole le mardi 18 novembre 2025, de 10h30 à 16h30 au restaurant Le Maine, 6 Rue Fernand Soulet, 53000 Laval. Un moment convivial et

L’eau est un patrimoine commun de la Nation, comme le reconnaît le Code de l’environnement. Sa gestion doit donc relever d’une responsabilité collective, équilibrée et transparente, au service de l’intérêt général. Cette exigence environnementale rejoint

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation de l’étiage au 28 octobre dans le département. L’évolution des débits des cours d’eau conduit à rétrograder la Mayenne médiane et aval et l’Oudon en

Le 23 juillet dernier, la FDSEA 53 et les JA 53 avaient écrit à la Préfète et au Directeur départemental des Finances publiques (DDFip) de la Mayenne. Après les violents épisodes de grêle de juin

Le prosulfocarbe est un herbicide largement utilisé en France, particulièrement sur les cultures de céréales, pommes de terre et quelques cultures légumières. Son autorisation a pu être maintenue grâce à la mobilisation professionnelle, mais avec des conditions

Jusqu’ici en accord avec la stratégie vaccinale du gouvernement contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), FNSEA, JA, FNPL, FNB dénoncent les nouvelles mesures prises par le gouvernement, dans un communiqué le 17 octobre, une décision

Démarches bas carbone proposées par les laiteries : la FNPL prône la prudence et la vigilance avant de signer tout engagement

Plusieurs transformateurs proposent actuellement aux producteurs de lait de s’engager dans des démarches « bas carbone ».

Les éleveurs laitiers peuvent en effet contribuer à lutter contre le réchauffement climatique en stockant du carbone, dans les prairies ou dans les haies par exemple et en faisant évoluer certaines pratiques. En contrepartie, la laiterie propose des primes, principalement sur objectifs.

La FNPL tient à alerter les producteurs de lait des limites de ces démarches, qui n’offrent pas toujours toutes les garanties d’un partenariat gagnant pour l’éleveur. Si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à vous rapprocher de l’animateur de votre FDSEA ou de votre organisation de producteurs.

Ces démarches « bas carbone » imposent en effet parfois des conditions d’accès non justifiées (interdiction de vente de crédits carbone par exemple), anéantissant la promesse de rémunération supplémentaire au producteur.

Par ailleurs, la FNPL incite à la plus grande méfiance lorsque les termes des propositions contractuelles ne sont pas clairs. L’éleveur ne connait pas exactement ce à quoi il s’engage et le bénéfice qu’il va en tirer, alors, il vaut mieux s’abstenir de tout engagement. En effet, les barèmes proposés ne sont pas toujours explicites ou bien sont très difficilement atteignables et les niveaux de primes particulièrement modestes, avec des coûts engendrés par le programme, réduisant à néant tout intérêt.

De ce fait, la FNPL appelle à la plus grande vigilance avant tout engagement des producteurs. Il convient que les termes de l’engagement soient très clairs et sans ambiguïté, conduisant à une parfaite compréhension du producteur des bénéfices qu’il pourra obtenir du programme. Pour l’éleveur, l’intérêt financier doit être réel et basé sur des barèmes réalistes, sans conditions imposées en plus. Enfin, la FNPL incite les éleveurs à ne pas systématiquement transmettre l’intégralité de leurs données, dont la valeur est réelle et recherchée par les entreprises dans le cadre de leur comptabilité carbone.

En outre, la FNPL tient à rappeler qu’elle a proposé au sein de l’interprofession un projet de charte pour valoriser et encadrer les leviers de transition environnementale activés dans la filière laitière. Ce projet apparaît bien mieux adapté aux engagements de France Terre de Lait en la matière que les différentes initiatives qui se succèdent sans garantir les mêmes valeurs aux producteurs.