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Le jeudi 2 octobre, le réseau FNSEA des Pays de la Loire accueillait Christophe Chambon, éleveur laitier dans le Doubs et secrétaire général adjoint national. L’occasion de revenir sur le travail syndical de ces derniers

La préfecture de la Mayenne a communiqué sur la situation de l’étiage au 7 octobre dans le département. L’évolution à la baisse des débits des cours d’eau conduit à placer les bassins de la Sarthe

Jeudi 9 octobre, la FDSEA 53 a reçu Alexandre de Palmas, directeur exécutif de Carrefour France, et Éric Adam, directeur des relations institutionnelles du groupe. L’échange, tenu à Changé, a permis d’aborder les tensions entre

La Section départementale des anciens exploitants de la Mayenne (SDAE 53) tiendra son assemblée générale le mardi 21 octobre 2025 au complexe sportif de Loiron-Ruillé. Près de 300 participants sont attendus pour cette journée mêlant

À partir de 2025, la demande d’aide à l’assurance récolte se simplifie : plus de formulaire papier à envoyer à la DDT(M). Grâce à l’action de la FNSEA et des JA, la procédure repose désormais

La gendarmerie nous informe qu’un vol de GPS agricole a été commis dans le département au cours de la semaine écoulée. Une tentative de vol a également été constatée sur un autre site. Ces faits

Bonne nouvelle : l’opération rénovation des luminaires pour équiper vos bâtiments agricoles en luminaires LED intelligents est toujours en cours ! 🌱 En quoi consiste cette offre ? En collaboration avec LA FNSEA, EDF et

Comme chaque année en début d’automne, le CNIEL publie la mise à jour de l’indicateur prix de revient. Il correspond au prix minimum nécessaire pour couvrir les charges et une rémunération de la main d’œuvre

La préfecture de la Mayenne a communiqué la situation de l’étiage au 1er octobre pour le département. L’évolution à la baisse des débits des cours d’eau conduit à placer les bassins de la Mayenne amont

L’assouplissement du statut de protection du loup dans la Convention de Berne puis dans la directive Habitats, génère des changements sur le plan national. À l’issue de la réunion du groupe national « loup » qui s’est tenue mardi 23 septembre,

Lactalis secoue la filière laitière : les éleveurs en colère

Alors que les éleveurs laitiers sont en plein travaux avec son lot d’incertitudes, que les inquiétudes grandissent sur les conséquences des maladies sanitaires qui affectent les troupeaux, les éleveurs pensaient au moins être épargnés sur le volet économique après plusieurs années difficiles.

C’était sans compter sur Lactalis. Dans un contexte où la filière doit se mobiliser pour apporter du positif pour répondre à l’enjeu du renouvellement des générations et de l’attractivité des métiers, l’annonce du groupe Lactalis de réduire sa production en licenciant ses producteurs est vécue comme une déflagration par les principaux concernés mais aussi par tous les éleveurs. Cette décision est également empreinte d’incompréhension.

Pour la FRSEA Ouest lait, sur le court terme, l’enjeu est simple : aucun producteur ne doit être laissé sur le bas-côté.

Chacun dans son rôle, les organisations de producteurs, les FDSEA et la FRSEA Ouest lait vont tout mettre en œuvre pour trouver des solutions. Si il y a une urgence immédiate pour rassurer les producteurs sur leur devenir, nous nous devons également de la jouer collectif.

Collectif face à Lactalis qui devra assumer jusqu’au bout sa décision en mettant la main à la poche pour les éleveurs lésés avec un préjudice important.

Collectif avec tous les producteurs, ceux qui sont en organisation de producteurs mais aussi les autres. Ceux qui sont en bio et qui font le choix de poursuivre. Ceux qui sont excentrés.

Sur le moyen terme, nous devons accélérer notre réflexion sur l’organisation des producteurs face à la gestion de la production. Les organisations de producteurs doivent demain être capables de gérer les volumes en collectif avec plusieurs acheteurs. Pour cela, la massification de l’offre de lait doit s’engager et les outils de gestion collective doivent être disponibles pour les OP.

Les perspectives d’évolution de collecte devraient faire réagir les entreprises mais également les distributeurs sur leur sécurisation d’un approvisionnement d’un lait local français et durable.

Même avec une perspective de baisse de la production au niveau national mais également dans nos bassins de production de l’Ouest, nous le constatons amèrement, rien n’est acquis et le rapport de force que l’on pensait profiter à terme aux producteurs a été déplacé.

La FRSEA Ouest lait n’accepte pas cette situation et se mobilisera chaque instant pour donner aux producteurs la place qui est la leur : au cœur de la filière laitière avec un travail reconnu et une rémunération à la hauteur des attentes.