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Ce mercredi, la préfète de la Mayenne et le président de la chambre d’agriculture ont signé la Charte départementale des contrôles en exploitation agricole. Cette charte s’inscrit dans le cadre de la circulaire du Premier

Dans un communiqué publié le mercredi 27 août, la préfecture de la Mayenne rappelle que « la situation reste préoccupante », et ce, « malgré les récentes pluies ». Aussi, les restrictions d’usages de l’eau

La censure par le Conseil constitutionnel de l’article 2 de la loi Duplomb, qui visait à permettre l’usage de l’acétamipride en France, suscite une vive inquiétude dans le monde agricole. Cette molécule, autorisée dans 26

L’indice national des fermages s’établit pour 2025 à 123,06. Ainsi, la variation de l’indice national des fermages 2025 par rapport à l’année 2024 est de + 0,42 %. L’indice national des fermages est utilisé pour

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Les Jeunes Agriculteurs et la FNSEA prennent acte de la décision du Conseil constitutionnel, qui valide l’essentiel de la loi Duplomb mais censure certaines dispositions, notamment celles relatives à l’usage de certains produits phytosanitaires. Si

L’évolution à la baisse des débits des cours d’eau conduit à placer le bassin Sarthe amont en alerte et à maintenir les autres bassins aux niveaux déjà en vigueur depuis le 21 juillet, à savoir

À la suite de la demande formulée par la profession agricole le 28 juillet, la préfète de la Mayenne a accordé des dérogations temporaires à l’arrêté du 30 juillet 2025 concernant les restrictions d’eau sur

Elevage : A la demande de la profession, la DDETSPP (Direction Départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations) a réuni semaine dernière les acteurs de la filière élevage du département

Moisson 2024 : une réponse du ministre inadaptée à l’ampleur du désastre !

Le président de la FNSEA a signifié par courrier, vendredi dernier, au ministre de l’Agriculture les demandes urgentes de la FNSEA pour répondre aux situations difficiles de nombreuses exploitations à la suite d’une moisson catastrophique.

Pour seule réponse, le ministre se contente de réaliser l’inventaire de la boite à outils ! C’est méconnaitre gravement les situations dramatiques qui s’annoncent sur de nombreuses fermes.

Certes, le dispositif d’assurance récolte et de solidarité nationale, pour lequel nous avons combattu pour en améliorer l’efficacité et le financement face à un gouvernement peu ambitieux, va jouer son rôle d’amortisseur, mais cela ne dispense pas la mise en place de mesures de trésorerie dont une partie du coût doit être pris en charge par l’Etat pour être supportable.

Certes, le dispositif d’épargne de précaution va être un outil efficace pour ceux qui ont pu l’utiliser, mais il ne dispense pas l’Etat d’honorer la promesse d’en défiscaliser une partie lors de la réintégration ! Il n’interdit pas non plus de systématiser les dégrèvements de TFNB dans les départements pour éviter les demandes individuelles.

Les caisses de MSA pourront également accorder des reports et des prises en charge de cotisations sociales, mais les 30 millions annuels sont déjà à peine suffisants pour faire face aux situations difficiles habituellement rencontrées. D’autant que la situation sanitaire nécessitera d’engager des moyens supplémentaires en direction des éleveurs. Il est indispensable de démultiplier le budget consacré à ce fonds !

Force est de constater que le ministre n’a pas pris la mesure de l’ampleur des conséquences catastrophiques d’une moisson historiquement désastreuse. Nous n’aurons de cesse que de rappeler au futur gouvernement, dès sa désignation, l’urgence de la situation et la nécessité d’agir au plus vite.

Retrouvez ci dessous le courrier du président de la FNSEA au ministre de l’Agriculture :