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Communiqué de presse FDSEA53 – JA 53 : « Pour éviter la propagation, il faut contrôler les mouvements et être rigoureux sur le terrain » Bien qu’elle ne soit pas présente dans l’Ouest, la DNC inquiète fortement

Le 18 décembre 2025, une large mobilisation agricole s’est tenue à Bruxelles, organisée par la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs, à l’appel de la COPA-COGECA, l’association européeenne des agriculteurs. Près de 10 000 agriculteurs européens

Tenues successivement à Chemazé vendredi dernier, puis à La Chapelle-Rainsouin mercredi, les réunions organisées par la FDSEA et Polleniz ont marqué le coup d’envoi de la nouvelle campagne départementale d’opérations collectives de régulation. Semaine passée,

De Craon à Ernée, en passant par Argentré, Meslay-du-Maine ou Grez-en-Bouère, les dernières réunions cantonales de la FDSEA 53 ont rassemblé de nombreux adhérents autour d’une actualité particulièrement dense. Enjeux sanitaires, dossiers territoriaux sensibles, transformation

Mercredi 17 décembre, Michel Barnier, député de Paris, ancien ministre de l’Agriculture et Premier ministre, a répondu favorablement à l’invitation de Guillaume Chevrollier, sénateur, de la FDSEA et des JA 53. Une visite s’est déroulée

Châteaubourg, jeudi 11 décembre — Près de 1 000 agriculteurs et 300 tracteurs se sont mobilisés jeudi en Ille-et-Vilaine à l’appel de la FDSEA et des JA pour contester le projet de SAGE Vilaine. Une

Les cantons de Cossé-le-Vivien, Laval Est, Ambrières-les-Vallées, Gorron et Loiron ont tenu ces derniers jours leurs réunions annuelles. Actualité sanitaire, transformation du réseau, enjeux territoriaux et renouvellement des équipes locales ont rythmé ces rendez-vous qui

La journée régionale veau de boucherie s’est tenue en Mayenne mardi 9 décembre. L’occasion entre autres de faire un point conjoncturel. Les Pays de la Loire sont la première région productrice. Le Relais, à Saint-Quentinles-Anges,

Après avoir organisé des formations de piégeurs agréés ces dernières années, la FDSEA53 vous propose de bénéficier de son nouvel achat groupé de cages à corvidés. Descriptif du produit : – cage 2 prises, avec compartiment d’appelant

Deux opportunités d’achats groupés sont actuellement proposées par la FDSEA de la Mayenne afin d’aider les exploitations à maîtriser leurs coûts. Bâches, ficelles, filets ou encore paille : pensez à passer commande dans les délais

Négociations commerciales : les producteurs de lait ne peuvent pas être la variable d’ajustement !

L’ouverture des négociations commerciales anticipée est une source d’inquiétude très forte pour
les éleveurs laitiers. À aucun moment dans la communication de Bruno Le Maire, l’exemption qui
prévalait jusque-là pour la filière laitière n’a été confirmée. Pourtant, plus que jamais, nous avons
besoin de signaux durables pour assurer le renouvellement des générations : en 2022, la France
était à la traîne en termes du prix du lait, les producteurs ont accepté une déconnexion avec leurs
voisins européens, convaincus qu’EGalim les protégerait lors d’un retournement de marché !
Encore faudrait-il que l’État ne casse pas toute cette dynamique !

La FNPL n’accepte pas que le ministre de l’Économie puisse annoncer des baisses de prix dès le
mois de janvier alors qu’à l’amont, les charges se situent toujours à des niveaux élevés. Rappelons
que les éleveurs ne maitrisent pas plus que Bercy la conjoncture mondiale et son impact sur les
comptes d’exploitation des fermes.
La France est – parmi les principaux pays producteurs européens – le seul où la collecte continue de
reculer, soyons conscients qu’à terme, c’est toute la filière qui est en danger. La FNPL réclame
donc une mise en oeuvre exemplaire des lois EGalim dans le secteur laitier : cela passe
évidemment, si nécessaire, par des médiations ou des mesures coercitives. Cependant les relations
de filière ne peuvent se résumer qu’à des conflits juridiques, la confiance et la co-construction entre
les acteurs doivent exister et perdurer.
Le travail conjoint et complémentaire des OP et de la FNPL montre que des résultats ont été obtenus
puisque certaines entreprises affichent des objectifs de prix 2023 au-dessus de 2022 tout en
garantissant une origine France de leurs produits laitiers. Pour la FNPL toutes les entreprises,
tant privées que coopératives doivent entendre l’urgence et arriver en fin d’année au même
résultat.
Aujourd’hui, davantage de questions se posent :

  • Comment atteindre les objectifs ambitieux du Pacte et de la Loi d’Orientation et d’Avenir
    agricoles (PLOA) si dans le même temps l’État réclame des baisses de prix des produits
    alimentaires et donc de la rémunération des éleveurs ?
  • L’alimentaire serait-il le seul levier pour redonner du pouvoir d’achat aux ménages ?
  • L’État est-il prêt à ouvrir la porte aux importations pour que cela coûte moins cher aux
    consommateurs sans souci de qualité ou de durabilité ?
  • Faudrait-il donc passer outre une application scrupuleuse des lois EGalim avant même son
    application pleine entière en dépit de votes unanimes des parlementaires ?

L’État doit tenir ses engagements en faveur de la rémunération des
producteurs !