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Les exploitants agricoles confrontés à des difficultés économiques à la suite des récents épisodes climatiques peuvent déposer une demande de prise en charge partielle de leurs cotisations MSA. Les dossiers doivent être transmis à la

Les élus du bassin de la Vilaine n’ont plus que quelques jours pour s’exprimer sur le projet de révision du Sage (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux) Vilaine, document de planification de la gestion de l’eau et

Suite aux violents épisodes de grêle des 13 et 25 juin ayant durement touché plusieurs zones du département, la FDSEA et les JA de la Mayenne ont officiellement saisi la préfète le 23 juillet pour

La maîtrise des contaminations par les spores butyriques est une problématique à gérer dès la récolte et jusqu’à la livraison du lait. Tous les élevages sont plus ou moins régulièrement touchés selon les années et

À la suite de la demande formulée par la profession agricole le 22 juillet, la préfète de la Mayenne a accordé des dérogations temporaires à l’arrêté du 21 juillet 2025 concernant les restrictions d’eau sur

Depuis plusieurs semaines, les bénévoles de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs 53 se mobilisent pour faire rayonner l’agriculture mayennaise à l’occasion du passage du Tour de France. Samedi 12 juillet, c’est une fresque géante

À la suite d’un courrier adressé par la profession agricole à la préfète de la Mayenne le 16 juillet dernier, cette dernière a consenti à des dérogations à l’arrêté préfectoral du 15 juillet 2025 limitant

La Commission européenne a annoncé ce mercredi 16 juillet les contours du prochain cadre financier de la Politique Agricole Commune (PAC) pour la période 2028-2034. Alors que la PAC a longtemps constitué le ciment de

Face aux conditions climatiques exceptionnelles qui frappent la Mayenne en 2025 — sécheresse prolongée et violents épisodes de grêle — la préfète autorise, à titre dérogatoire, l’utilisation des jachères en fourrage (fauche et/ou pâture). Les

Le 8 juillet 2025 restera comme un moment charnière pour l’agriculture française. L’adoption de la proposition de loi visant à lever les contraintes au métier d’agriculteur marque l’aboutissement de plus de 18 mois de mobilisation

Ratification du Mercosur : la réponse doit être NON !

Après la visite du Président Lula la semaine dernière à Paris, les récentes prises de parole du Président Macron laissent les éleveurs dubitatifs… Le Président qui, jusqu’à lors, refusait clairement l’accord issu des négociations entre l’Union européenne et les Etats du Mercosur, se dit prêt à envisager une ratification cette fin d’année…

En effet, lors d’un entretien avec une chaine télévisée brésilienne le 6 juin dernier, le Président Macron s’est dit prêt à accepter la signature de l’accord cette année, en cas d’intégration des clauses miroirs ou d’une clause de sauvegarde.

Et pourtant… l’accord conclu en décembre dernier intègre déjà une clause de sauvegarde… Celle-ci est de l’aveu de tous les experts, totalement inopérante, et impossible à mettre en place…

De plus, les négociations étant terminées, difficile d’imaginer qu’elles soient réouvertes pour y intégrer d’éventuelles clauses miroirs. Celles-ci n’ont d’ailleurs pas fait l’objet de négociation avec le Mercosur, de l’aveu même d’Olof Gill, porte-parole de la Commission européenne en charge du commerce international.

Et peut-on réellement espérer un engagement non contraignant des pays du Mercosur sur le respect de normes européennes… alors même que la Commission européenne constate déjà, à chaque contrôle, le non-respect de la seule mesure miroir existante : l’interdiction de l’usage des hormones ?!

Pour Patrick BENEZIT, Président de la Fédération Nationale Bovine : « L’urgence est là. Il est illusoire d’imaginer que l’accord pourrait encore évoluer… Les éleveurs bovins l’affirment, tous comme les Parlementaires français : cet accord est un mauvais accord pour l’agriculture française et européenne ! Aussi, nous demandons encore une fois au chef de l’Etat de s’opposer officiellement à la scission de l’accord, et de faire alors valoir son droit de véto contre sa ratification »