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La FNSEA vient d’être à nouveau reconnue comme l’unique organisation représentative des employeurs de la branche de la production agricole, des Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole (CUMA) et des parcs zoologiques privés ouverts au public,

Les services de l’État et la chambre d’Agriculture de la Mayenne ont organisé, le 11 juin 2025, une matinée pédagogique sur la ferme de Mickaël et Véronique Cousin à Peuton pour répondre aux interrogations de

Alors que la Commission européenne multiplie les efforts pour présenter l’accord de libre-échange avec le MERCOSUR comme une réponse aux tensions géopolitiques et commerciales, la perspective d’une signature imminente inquiète fortement les agriculteurs français. La

Après la visite du Président Lula la semaine dernière à Paris, les récentes prises de parole du Président Macron laissent les éleveurs dubitatifs… Le Président qui, jusqu’à lors, refusait clairement l’accord issu des négociations entre

Sur impulsion de la FDSEA et de Polleniz, une soixantaine de bénévoles mènent depuis mars dernier de nouvelles actions de régulation des corneilles noires et corbeaux freux sur les cantons de Mayenne Est, Mayenne Ouest, Pré-en-Pail

Mardi 3 juin, cinquante agricultrices de la FDSEA 53, ont mis le cap vers le Val-de-Marne pour une visite exceptionnelle du Marché de Rungis. Certaines ne s’étaient même pas couchées, d’autres s’étaient levées aux aurores,

VIGILANCE SUR L’USAGE DE L’EAU : passage des territoires hydrographiques de la Sarthe aval et de la Mayenne médiane et aval en vigilance. Sur ces territoires hydrographiques, il est fait appel au sens civique de tous les utilisateurs et usagers de l’eau qui sont invités

Il est prévu, dans le cadre de la nouvelle circulaire visant à instaurer le contrôle unique en exploitation agricole, l’organisation annuelle d’actions de communication destinées aux agriculteurs, et ce de façon concertée par les préfets

Face à la crise sans précédent vécue par les agriculteurs en agriculture biologique, la FNSEA est pleinement mobilisée pour que tous les outils soient mis en oeuvre en vue d’aider des producteurs en grande fragilité.

La régulation de la population de sangliers est un enjeu majeur pour lutter contre les dégâts occasionnés sur les cultures agricoles et préserver l’économie agricole. Cette régulation permet également d’améliorer la sécurité routière de tous

Ratification du Mercosur : la réponse doit être NON !

Après la visite du Président Lula la semaine dernière à Paris, les récentes prises de parole du Président Macron laissent les éleveurs dubitatifs… Le Président qui, jusqu’à lors, refusait clairement l’accord issu des négociations entre l’Union européenne et les Etats du Mercosur, se dit prêt à envisager une ratification cette fin d’année…

En effet, lors d’un entretien avec une chaine télévisée brésilienne le 6 juin dernier, le Président Macron s’est dit prêt à accepter la signature de l’accord cette année, en cas d’intégration des clauses miroirs ou d’une clause de sauvegarde.

Et pourtant… l’accord conclu en décembre dernier intègre déjà une clause de sauvegarde… Celle-ci est de l’aveu de tous les experts, totalement inopérante, et impossible à mettre en place…

De plus, les négociations étant terminées, difficile d’imaginer qu’elles soient réouvertes pour y intégrer d’éventuelles clauses miroirs. Celles-ci n’ont d’ailleurs pas fait l’objet de négociation avec le Mercosur, de l’aveu même d’Olof Gill, porte-parole de la Commission européenne en charge du commerce international.

Et peut-on réellement espérer un engagement non contraignant des pays du Mercosur sur le respect de normes européennes… alors même que la Commission européenne constate déjà, à chaque contrôle, le non-respect de la seule mesure miroir existante : l’interdiction de l’usage des hormones ?!

Pour Patrick BENEZIT, Président de la Fédération Nationale Bovine : « L’urgence est là. Il est illusoire d’imaginer que l’accord pourrait encore évoluer… Les éleveurs bovins l’affirment, tous comme les Parlementaires français : cet accord est un mauvais accord pour l’agriculture française et européenne ! Aussi, nous demandons encore une fois au chef de l’Etat de s’opposer officiellement à la scission de l’accord, et de faire alors valoir son droit de véto contre sa ratification »